Accord d'entreprise "Accord Collectif d'Entreprise sur le dispositif spécifique d'Activité Partielle en cas de Réduction d'Activité durable" chez SARL TIBANNE (Siège)
Cet accord signé entre la direction de SARL TIBANNE et les représentants des salariés le 2021-01-13 est le résultat de la négociation sur divers points, les autres dispositifs d'aménagement du temps de travail.
Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et les représentants des salariés
Numero : T59L21011855
Date de signature : 2021-01-13
Nature : Accord
Raison sociale : SARL TIBANNE
Etablissement : 49427027500014 Siège
Temps de travail : les points clés de la négociation
La négociation s'est portée sur les thèmes suivants
Conditions du dispositif temps de travail pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2021-01-13
PROMOCASH DUNKERQUE
Z.A.C de la Grande Porte
1 Rue Jean Vanywaede
Sarl TIBANNE 59180 CAPPELLE LA GRANDE
03.28.25.44.20
Fax 03.28.61.48.24
ACCORD COLLECTIF D’ENTREPRISE SUR LE DISPOSITIF SPECIFIQUE
D’ACTIVITÉ PARTIELLEEN CAS DE RÉDUCTION D’ACTIVITÉ DURABLE
ENTRE :
La Société Sarl TIBANNE PROMOCASH, au capital social de 266 400 €, immatriculée au RCS de à Dunkerque sous le n° 494 270 275, ayant son siège social au 1 rue Jean Vanywaede ZAC de la Grande Porte 59180 Cappelle La grande, représentée par M XXXX, agissant en qualité de Gérant, dûment habilitée aux fins des présentes,
Ci-après dénommée « la Société »
D’UNE PART,
ET
M XXXX membre titulaire du CSE ;
Ci-après dénommé « l’élu du CSE »,
D’AUTRE PART,
Ci-après ensemble les « Parties » et individuellement chaque « Partie ».
Préambule
La Société exerce une activité de vente de biens alimentaires et non alimentaires dédiés principalement aux professionnels de la restauration, des cafés et de l’hôtellerie. Sa clientèle exerce donc dans le domaine de la consommation dite « hors-domicile ».
Cette clientèle Restauration représente en 2019, 68% de mon Chiffres d’affaires.
Si on ajoute la part des Associations « loi 1901 » (Clubs sportifs, Association d’écoles, Association de clubs de loisirs…), cela représente 84% de mon chiffres d’affaires 2019.
Véritable partenaire des professionnels de la restauration et de l’hôtellerie, l’activité de la Société est ainsi totalement dépendante des achats que ces acteurs économiques réalisent.
Or, afin de limiter les conséquences sanitaires de l’épidémie de Covid-19, le gouvernement a mis en place une première période de confinement du 17 mars au 11 mai 2020.
Cette mesure a conduit à la fermeture de tous les restaurants en ce compris les services de restauration en room-service ainsi que des bars. Si la vente à emporter est restée autorisée, les professionnels de la restauration ne l’ont pas tous mise en place ou pour certains de manière tardive.
Il est à noter également que les écoles, les collèges, les lycées et les universités ont également dû fermer ; par conséquent leur service de restauration collective a complètement cessé de fonctionner.
Compte tenu de l’arrêt brutal des activités du secteur de la restauration commerciale et collective à partir de mi Mars 2020, la Société a dû faire face à une baisse de commande, et donc à une baisse de chiffre d’affaires sur le premier semestre 2020 de -22% par rapport à la même période l’année précédente (soit - 1 400 000 €), alors que les deux premiers mois (Janvier et Février 2020) étaient en progression de 4%.
La gestion des stocks d’invendus a également généré d’importantes pertes (-27 836€ de Démarque sur le 1er semestre 2020).
Dans ce contexte, la Société n’a eu d’autres choix que celui de recourir à l’activité partielle dite « de droit commun ». Afin de limiter au maximum cette activité partielle, l’entreprise a proposé aux salariés de prendre des Congés payés anticipés, puis à organiser son planning afin de faire travailler les salariés au moins par ½ journée.
Un déconfinement progressif a ensuite été organisé. En effet, les établissements d’enseignement ont pu de nouveau accueillir des élèves mais partiellement uniquement.
A compter du 2 juin, les bars et restaurants ont également été autorisés à rouvrir en respectant différentes restrictions prévues par le protocole sanitaire selon le classement de la zone dans laquelle ils se situaient. Enfin, une limitation de déplacement de 100 kilomètres a été instaurée qui a eu des conséquences directes et négatives sur le tourisme et donc sur le secteur de la restauration commerciale.
De ce fait, si la Société a très progressivement repris ses activités en réduisant, peu à peu, le recours au régime de l’activité partielle, elle n’a toutefois n’a pas atteint les résultats qu’elle enregistrait antérieurement à la crise sanitaire du Covid-19.
Sur les mois de Juin à Octobre 2020, les commandes ont baissé (baisse de 2% de nombres de clients, et -2.71% du panier moyen/client) et le chiffre d’affaires de la Société a accusé une baisse de 4.87% par rapport à la même période en 2019.
L’épidémie de Covid-19 connaissant une nouvelle augmentation, un second confinement a été décrété par le gouvernement à compter du 30 octobre 2020.
L’ensemble des bars et restaurants ont quant à eux dû de nouveau fermer leurs portes et ce jusqu’à la fin du mois de janvier 2021 au moins. (68% de la clientèle en Chiffres d’affaires de la société).
Les universités – et donc la restauration collective attenante – ont été fermées à cette occasion et ce jusqu’au mois de janvier 2021, date à laquelle une réouverture progressive est normalement prévue.
Ces nouvelles mesures ont dégradé encore davantage la situation économique déjà fragilisée de la Société, sans qu’aucune possibilité de report vers d’autres canaux de distribution ne puisse être identifiée compte tenu de la spécificité de son activité.
Les commandes sont toujours en baisse par rapport à l’année passée, et le chiffre d’affaires sur les deux derniers mois à chuter de -832 140€ (-41 % sur Novembre-Décembre 2020).
La Société a donc été contrainte d’augmenter son taux recours au dispositif d’activité partielle de droit commun.
Actuellement, la réduction d’activité est sérieuse mais n’est pas de nature à compromettre la pérennité de l’entreprise, et ce grâce notamment aux mesures d’aide mises en place par l’Etat et aux mesures d’urgence prises en interne (annulation des embauche, Non reconduction des Contrats à Durée Déterminée, plan drastique de réductions des coûts au niveau des Frais généraux, et annulation des travaux prévus en 2020 et 2021).
La réduction de l’activité s’annonce toutefois durable.
Une étude, réalisée par l’Association Nationale des Industries alimentaires fabriquant et commercialisant des produits pour la consommation hors domicile, a été menée entre les mois de mai et septembre 2020 dans le but de disposer d’une photographie réelle de l’impact de la Covid-19 (et des mesures sanitaires prises) sur le consommateur. Il en ressort que :
L’hygiène et la sécurité sont désormais les préoccupations majeures des français qui structurent leur mode de consommation et les incitent à moins fréquenter les bars et restaurants ;
Les français ont pris de nouvelles habitudes : ils se tournent désormais plus vers la cuisine « faite maison » que vers la restauration commerciale ;
L’augmentation du télétravail semble durable et devrait avoir pour conséquence de faire baisser la consommation hors domicile à l’heure du déjeuner ;
Le budget des français a diminué du fait de la crise économique et sanitaire conduisant de facto à la réduction de la part consacrée à la restauration commerciale.
Ainsi, outre le fait que l’activité des hôtels, cafés, restaurants est toujours directement impactée par les mesures sanitaires prises par le Gouvernement, les nouveaux modes de consommation des français risquent d’aggraver encore un peu plus la situation du secteur de la restauration, déjà particulièrement sinistré.
L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie chiffre a près de 30.000 le nombre de fermetures d’établissement (bar, café ou restaurant), du fait de la crise sanitaire.
Par effet domino, l’activité de la Société sera nécessairement affectée. Sa reprise est et restera donc limitée.
La situation risque de se prolonger tant que le virus est encore actif et que la liberté de circulation entre pays et en France reste limitée ; voire au-delà compte tenu du nombre de fermetures d’établissement anticipé.
L’évolution des chiffres et les prévisions pour l’année 2021 permettent de l’illustrer concrètement :
2019 | 2020 | 2021 prévisionnel | |
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12 976 280 € | 10 670 018 € | 12 000 853 € |
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76 K€ avant IS | Attente Bilan 2020 | 32k€ avant IS |
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Dans ces conditions, il est apparu nécessaire d’envisager le recours au dispositif d’activité partielle de longue durée prévu par l’article 53 de la loi n°2020-734 du 17 juin 2020 et les dispositions du décret n°2020-926 du 28 juillet 2020 (le « Dispositif »).
Les Parties se sont rencontrées au cours de plusieurs réunions lors desquelles elles ont discuté des activités et des salariés concernés par ce dispositif, des réductions de l’horaire de travail pouvant donner lieu à indemnisation et des engagements souscrits par la Société en contrepartie.
Au terme de leurs discussions, les Parties sont parvenues au présent accord (ci-après « l’Accord ») ayant pour objet de définir les conditions de mise en œuvre du dispositif spécifique d’activité partielle au sein de la Société.
activités et salariés concernés par le dispositif
Au vu du diagnostic sur la situation économique et les perspectives d’activité de la Société, les activités concernées par une réduction d’activité et entrant dans le champ d’application de l’Accord sont les suivantes :
Tous les salariés de la Société travaillant pour ces activités sont susceptibles de bénéficier du dispositif spécifique d’activité partielle, en raison de la réduction d’activité subie.
Il s’agit des salariés occupant les postes suivants :
Equipier(e) commercial(e)
Equipier(e) Gestionnaire commercial(e)
Responsable de pôle
Assistant(e) Commercial(e) et Administratif
Responsable Commercial(e) et Administratif
Agent de maîtrise
Date de début et durée d’application du Dispositif
Date de début et première mise en œuvre du Dispositif
Le bénéfice du dispositif spécifique d’activité partielle est subordonné à la validation de l’Accord par la Direccte, qui sera sollicitée après la signature de l’Accord.
En cas d’autorisation de la Direccte, le Dispositif sera mis en œuvre pour une période de 6 mois, débutant le 1er février 2021 et prenant fin le 31 juillet 2021.
Durée d’application et modalités de renouvellement du dispositif
Le Dispositif pourra être reconduit par période de 6 mois dans la limite de 24 mois consécutifs ou non, sur une période de référence de 36 mois consécutifs.
Chaque renouvellement devra être préalablement autorisé par l’administration.
Sur la base du diagnostic actualisé de la situation économique et des perspectives d’activité de l’entreprise, mettant en lumière une amélioration ou une dégradation de la situation de la Société, cette dernière pourra solliciter le renouvellement de l’autorisation auprès de la Direccte, par période de 6 mois.
Par ailleurs, le CSE sera informé de la décision de la Société de reconduire le Dispositif.
Préalablement, la Société présentera au CSE les activités concernées par ce renouvellement, la réduction d’activité envisagée sur la période, le nombre de salariés concernés ainsi que des intitulés de poste correspondants. Elle lui transmettra le diagnostic actualisé de la situation économique et des perspectives d’activité de l’entreprise justifiant la reconduction du Dispositif ainsi que le bilan du suivi des engagements en matière d’emploi et de formation professionnelle définis à l’article 5.
Situation des salariés placés dans le Dispositif
Réduction de l’horaire de travail
Durant la période de recours au Dispositif, le contrat de travail des salariés est suspendu pendant les heures non travaillées.
La réduction d’activité des salariés bénéficiaires de l’Accord ne pourra pas être supérieure à 40% de la durée légale du travail. Cette limite s’apprécie par salarié, par rapport à son temps de travail effectif sur la durée d’application du Dispositif et pourra donc conduire à des périodes sans activité.
Les salariés couverts par l’Accord seront placés en activité partielle par établissement ou par partie d’établissement, telle qu’un service ou une équipe chargée de la réalisation d’un projet. Le taux de réduction de l’horaire de travail pourra varier selon la partie d’établissement concernée. (exemple : Inventaire général)
En cas de nouvelle dégradation manifeste de la situation économique de la Société, cette dernière pourrait solliciter la Direccte afin que la réduction d’activité puisse être portée de manière exceptionnelle jusqu’à 50 % de la durée légale du travail. Dans ce cas, la Société exposera préalablement au CSE des circonstances exceptionnelles justifiant ce dépassement et l’informera des activités concernées ainsi que du volume d’heures concernées.
Cette dérogation devra être autorisée au préalable par la Direccte chargée de la validation de l’Accord.
Versement d’une indemnisation par l’employeur
En l’état de la réglementation applicable, le salarié placé en activité partielle en application de l’Accord reçoit une indemnité horaire pour chaque heure chômée correspondant à 70% de sa rémunération brute servant d’assiette de l’indemnité de congés payés. La rémunération maximale prise en compte pour le calcul est de 4,5 fois le taux horaire du SMIC. En cas d’évolution législative ou réglementaire, cette indemnité sera ajustée.
Ces dispositions seront appliquées de manière identique pour les salariés à temps complet ou à temps partiel.
En cas de modification des dispositions applicables aux modalités de calcul de l’indemnité d’activité partielle longue durée versé aux salariés, la Direction mettra en œuvre les dispositions légales et réglementaires en vigueur.
Congés payés
Pendant toute la durée de mise en œuvre de l’accord, les salariés seront encouragés à prendre leurs congés payés pendant les périodes de réduction d’activité afin de se voir garantir un niveau de rémunération à hauteur de 100% sur ces journées de repos et d’anticiper au mieux les reprises d’activités futures de la société.
Engagements de la Société
En matière de formation professionnelle
Les Parties affirment leur souhait de promouvoir plus encore l’accès à la formation et le développement de l’employabilité des collaborateurs.
Elles veulent mettre à profit les périodes chômées au titre de l’activité réduite pour développer les compétences des salariés de la Société.
Un plan de renforcement des compétences est mis en place dans la Société en collaboration avec le service formation de son franchiseur
Ainsi, un plan de formation pour les salariés a débuté à partir du Lundi 11 janvier 2021 jusqu’au Jeudi 14 Janvier 2021 par un formateur métiers.
« S’impliquer dans le sécurité alimentaire »
« Gérer la démarque au quotidien »
« Vendre par téléphone »
Puis d’autres formations sont prévues sur le 1er semestre 2021 comme en février 2021 (« Parcours Administratif du 09 au 11 février 2021)
En vue d’accompagner et de conseiller les salariés dans leur projet de formation, le service Ressources Humaines se tient à la disposition des salariés.
La Société incitera individuellement tous es salariés à faire usage des droits qu’ils tiennent de leur compte personnel de formation (CPF).
Les thématiques suivantes pourront notamment être programmées en fonction des profils et besoins individuels :
· Garantir un approvisionnement de qualité au PGC PFI
· Les incontournables de la mise en rayon
· L'essentiel du merchandising en cash and carry
· La relation client au quotidien
· Vendre par téléphone
· L'ouverture de compte, un acte administratif et commercial
· S'impliquer dans la sécurité alimentaire
· Détenir un assortiment adapté à ses clients
· Bien commander pour bien servir ses clients tous secteurs
· Maîtriser la commande automatique
· Les process de contrôle au service de la qualité
· Gérer la démarque au quotidien
· Test CACES 1B + 3 + 5
· Gestes et postures
En matière d’emploi
Le recours au Dispositif permet le maintien dans l’emploi en ce qu’il est justifié par une réduction durable de l’activité de la Société n’étant pas de nature à compromettre sa pérennité.
En conséquence, la Société prend l’engagement de ne procéder à aucun licenciement pour motif économique des salariés placés en activité partielle sur le fondement de l’Accord, pendant la durée de recours au Dispositif autorisé par la Direccte, sauf si les perspectives d’activité se sont manifestement dégradées par rapport à celles prévues et rappelées en préambule.
Cet engagement ne concerne pas les licenciements qui interviendraient pour un autre motif qu’un motif économique ni les autres ruptures du contrat de travail, quelle que soit leur forme. Il n’emporte pas non plus obligation pour la Société de procéder aux remplacements des salariés dont le contrat de travail a ainsi été rompu.
suivi de la mise en œuvre de l’accord
Le CSE recevra tous les mois, lors de la réunion ordinaire, une information spécifique sur la mise en œuvre du Dispositif. Dans ce cadre, la Société lui remettra les informations suivantes :
Nombre de salariés ayant été placés en activité partielle en application de l’Accord ;
Nombre d’heures chômées sur la période ;
% de la réduction d’activité par rapport à la durée légale du travail par service/site ;
Suivi des engagements en matière d’emploi ;
Suivi des engagements en matière de formation professionnelle ;
Suivi de l’évolution du Chiffres d’affaires de l’entreprise
Préalablement à toute demande de renouvellement d’autorisation, il sera également remis un diagnostic de la situation mis à jour, un bilan du suivi des engagements pris ainsi qu’une synthèse de la demande de renouvellement envisagée (activités concernées, réduction d’activité envisagée sur la période pour chaque activité, nombre de salariés concernés et intitulés de poste).
Dispositions finales
Durée et date d’entrée en vigueur
L’Accord entre en vigueur, sous réserve de sa validation par la Direccte, à compter de la date de début de mise en œuvre du Dispositif visée à l’article 2.1.
Il est conclu pour une durée déterminée correspondant à celle pendant laquelle il est recouru au Dispositif après autorisation de la Direccte.
Il cessera de plein droit et sans formalité préalable de s’appliquer 36 mois après son entrée en vigueur.
Portée
Le présent Accord annule et remplace l’ensemble des dispositions collectives en vigueur au sein de son champ d’application ayant le même objet ou la même cause.
La mise en œuvre du Dispositif au sein de la Société n’est pas incompatible, pour les salariés ne bénéficiant pas de ce Dispositif, avec le recours à l’activité partielle prévue à l’article L.5122-1 du code du travail pour l’un des motifs suivants :
difficultés d'approvisionnement en matières premières ou en énergie ;
sinistre ou intempéries de caractère exceptionnel ;
transformation, restructuration ou modernisation de l'entreprise ;
ou toute autre circonstance de caractère exceptionnel.
Modalités de suivi
Rendez-vous
En cas de modifications des dispositions législatives ou réglementaires ayant pour conséquence de remettre en cause les dispositions de l’Accord avant son terme, des négociations s’ouvriront sans délai à la demande de l’une des parties signataires (ou dans les 3 mois suivants au plus tard) pour examiner les possibilités d’adapter l’Accord aux nouvelles conditions de la législation et de la règlementation.
Révision
L’Accord pourra être révisé à tout moment, dans les conditions prévues par les dispositions légales et règlementaires en vigueur.
Notification, dépôt et publicité
L’Accord sera déposé par la Société :
en deux exemplaires sur la plateforme de téléprocédure du ministère du travail, dont une version signée des Parties et une version anonymisée destinée à être publiée (c’est-à-dire expurgée du nom des personnes physiques signataires) ;
en un exemplaire au Conseil de prud’hommes de Dunkerque.
Enfin, les termes de l’Accord seront portés à la connaissance de l’ensemble du personnel par voie d’affichage ou tout autre support de communication opportun.
À Cappelle La Grande
Le 13/01/2021
Le Gérant Le représentant du CSE
M XXXX M XXXX
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