Accord d'entreprise "Accord relatif à la mise en oeuvre du dispositif spécifique d'activité partielle en cas de réduction d'activité durable sur FERMIERS DU PERIGORD" chez LES FERMIERS DU PERIGORD (Siège)

Cet accord signé entre la direction de LES FERMIERS DU PERIGORD et le syndicat CFE-CGC et CGT le 2022-12-12 est le résultat de la négociation sur divers points, diverses dispositions sur l'emploi.

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CFE-CGC et CGT

Numero : T02422002262
Date de signature : 2022-12-12
Nature : Accord
Raison sociale : LES FERMIERS DU PERIGORD
Etablissement : 53429528200022 Siège

Emploi : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur les thèmes suivants

Conditions du dispositif emploi pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2022-12-12

Accord relatif à la mise en œuvre du dispositif spécifique d'activité partielle en cas de réduction d'activité durable sur

FERMIERS DU PERIGORD

Entre,

La société FERMIERS DU PERIGORD représentée par , agissant en qualité de DRH

d'une part

et,

Les organisations syndicales représentatives suivantes :

  • CGT représentée par agissant en qualité de délégué syndical

  • FO représentée par agissant en qualité de délégué syndical  

  • CFE -CGC représenté par agissant en qualité de délégue syndical

d'autre part,

Préambule

Depuis début 2022, le Sud-Ouest de la France est confronté au 4 ème épisode d’Influenza Aviaire. Cette vague, contrairement aux années précédentes, n’a pas cessé en période estivale.

Cette vague s’est également étendue à plusieurs régions, ce qui est également une nouveauté. D’après les études, la contamination IA devient endémique sur le territoire Français.

La situation sanitaire au regard de l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène (IAHP) continue à se dégrader ces dernières semaines. Le nombre de foyers d’Influenza Aviaire en élevage et dans la faune sauvage progresse encore en France métropolitaine et en Europe. Face à un risque de contamination accru du fait de la baisse des températures et de la forte activité migratoire des oiseaux sauvages, le niveau de risque a été relevé de "modéré" à "élevé" sur l'ensemble du territoire métropolitain. Depuis le 11 novembre, la protection des élevages de volailles est renforcée et les mesures de prévention sont généralisées.
Ainsi, toutes les volailles doivent être mises à l’abri sur l ‘ensemble du territoire et les rassemblements de volailles sont interdits.

Des zones à risques ont été identifiées et le Périgord fait partie de ces zones.

À la date du 30 novembre, 91 foyers en élevage ont été confirmés depuis le 1er août dernier.

Depuis mi-mai, des mortalités groupées d’oiseaux du littoral ont été constatées, d’abord dans les départements côtiers des Hauts-de-France, essentiellement chez les laridés (goélands, mouettes et sternes) puis ces mortalités sont apparues courant juin sur les côtes normandes (Seine-Maritime, Calvados, Manche) pour être observées en juillet sur les côtes bretonnes (Côtes d’Armor) et désormais en Loire-Atlantique et Charente-Maritime. Depuis, ces constats sont réguliers sur les côtes de ces départements mais également parfois à l'intérieur des terres.

Cette augmentation de cas d’IAHP dans la faune sauvage s’étend aux autres pays de l’Union européenne, cas essentiellement regroupés au niveau du littoral.

La situation est exceptionnelle (encore jamais rencontrée en France) de par son ampleur et la période où les détections ont cours.

Depuis mi-octobre, le nombre de cas est en recrudescence importante dans l’Ouest et en particulier en Vendée. Le Perigord a également été à nouveau touché début Décembre. Bien qu’endigué pour le moment d’autres cas peuvent apparaitre

Pour rappel, à chaque cas dépisté en élevage, les autorités pratiquent le dépeuplement et la mise en œuvre de vide sanitaire avant remises en place. Cela entraine la perte des animaux contaminés et des animaux non remis en place.

De plus, considérant que la situation devient endemique en France, les spécialistes annoncent d’ores et déjà la propagation de l’IA au Sud-Ouest et donc potentiellement au Périgord et departements limitrophes.

Des moyens de prévention et de bio sécurité ont été mis en œuvre avec notamment la limitation du nombres d’animeaux mis en place dans les périodes à risque (du 15 novembre au 15 février) dans les zones les plus touchées.

Des essais de vaccination sont également en cours mais ne porteront pas leurs fruits avant plusieurs mois.

De plus, cette situation de crise touche FERMIERS DU PERIGORD dont les résultats économiques sont toujours négatifs

FERMIERS DU PERIGORD SAS :

Au 31/12/2020 Au 31/12/2021 AU 30/06/2022
REX
  • 1276 K€

  • 443K€

  • 546 K€

Résultat net
  • 1580 K€

  • 746 K€

-1173 K€
EBE
  • 1096 K€

69 K€ 209K€

En 2022, devant l’évolution de la crise aviaire et son impact dans le Sud-Ouest, FERMIERS DU PERIGORD avait mis en place un premier accord APLD pour 5 mois ; En effet, au moment de la conclusion de cet accord, les parties avaient comme référence les crises aviaires précédentes circonscrites au Sud-Ouest et limitées dans le temps. De plus, notre secteur connait une saisonnalité importante sur le dernier trimestre de l’année avec un pic d’activité sur le mois de décembre avec l’abattage de produits dits « festifs » qui nécessitent une augmentation du temps de travail. Cette saisonnalité et l’expérience des premières IA avaient donc conduit à un accord APLD de 5 mois non renouvelé avec l’arrivée de la saison et de l’augmentation du temps de travail.

Aujourd’hui, au regard de l’évolution de l’épizootie présentée dans ce préambule, la baisse d’activité risque de se renouveler et surtout de s’étendre sur des périodes plus longues. C’est pourquoi, conformément à l’accord de branche signé en mars 2022, FERMIERS DU PERIGORD a souhaité échanger avec ses partenaires sur la mise en œuvre du dispositif APLD sur une période plus longue.

L’impact de l’IA et son caractère endémique sur les mois à venir peut induire une baisse d’activité régulière et de manière répétée sur les prochaines années, et cela dès le début de 2023.

Cette situation de baisse d’activité liée à la crise IA peut également être détériorée par l’augmentation des prix des matières premières et de l’énergie qui pourraient également obliger l’entreprise à une réduction du temps de travail pour faire face à des difficultés économiques ou d’approvisionnements.

Face à ce constat, afin de faire face à la baisse durable d’activité et préserver dans la mesure du possible l’emploi des salariés, il est convenu de recourir au dispositif spécifique d'activité partielle institué par la loi n° 2020-734 du 17 juin 2020 sur la société FERMIERS DU PERIGORD.

A cet effet, il est inséré dans le présent accord des dispositions portant notamment sur :

  • la date de début et la durée d'application du dispositif spécifique d'activité partielle ;

  • les activités et salariés auxquels s'applique ce dispositif ;

  • la réduction maximale de la durée de travail ;

  • les engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle ;

  • les modalités d'information des organisations syndicales de salariés signataires, des salariés et des institutions représentatives du personnel sur la mise en œuvre de l'accord ;

  • les conditions dans lesquelles les salariés prennent leurs congés payés et utilisent leur compte personnel de formation, avant ou pendant la mise en œuvre du dispositif ;

  • les moyens de suivi du contenu de l’accord par les organisations syndicales

Article 1 : Champ d’application

Le présent accord s’applique à la société FERMIERS DU PERIGORD basée à TERRASSON LAVILLEDIEU 

Article 2 : Durée d’application

Sous réserve de la validation du présent accord par l’autorité administrative, le dispositif spécifique d'activité partielle s’appliquera à compter du 01/01/2023 pour une durée de 36 mois, soit jusqu’au 31 décembre 2025, avec un maximum de 24 mois indemnisables. En tout état de cause, les saisons festives 2023,2024 et 2025 (mois de décembre de chaque année) ne seront pas concernées par des périodes d’indemnisations.

Article 3 : Activités et salariés concernés

La réduction durable d’activité concerne les services suivants :

  • service abattage

  • service découpe

  • service conditionnement

  • service maintenance

  • service nettoyage

  • services administratifs

  • direction

Par conséquent, le dispositif spécifique d'activité partielle de longue durée s’applique à l’ensemble des salariés de l’entreprise.

Article 4 : Réduction de la durée du travail

Pour faire face aux difficultés rencontrées sur les sites, les salariés concernés par le présent accord seront placés en activité partielle de longue durée. Leur durée de travail sera réduite jusqu’à 40 % de la durée légale de travail appréciée pour chaque salarié concerné sur la durée d’application du dispositif.

Les circonstances exceptionnelles auxquelles est exposée l’entreprise se traduisant par une baisse encore plus significative des volumes du fait d’une nouvelle crise IA conduisent les signataires du présent accord à prévoir une réduction de la durée de travail des salariés pouvant aller jusqu’à 50 % de la durée légale de travail, appréciée pour chaque salarié concerné sur la durée d’application du dispositif.

La faculté de réduire la durée de travail à hauteur de 50 % de la durée légale de travail ne peut être mise en œuvre que sur décision de l’autorité administrative. A défaut d’une telle autorisation :

  • la durée de travail des salariés concernés par le présent accord sera réduite jusqu’à 40 % de la durée légale de travail ;

  • si de nouvelles circonstances exceptionnelles surviennent, l’entreprise pourra à nouveau solliciter une décision de l’autorité administrative, après consultation du CSE permettant de réduire la durée du travail des salariés jusqu’à 50 %.

    La réduction de la durée du travail dépendant du niveau d’activité de l’entreprise, elle ne sera pas mise en œuvre de manière uniforme pendant la durée d'application du dispositif, son application pouvant conduire à la suspension temporaire de l'activité.

Article 5 : Indemnisation de l’activité partielle de longue durée

Le placement en activité partielle ouvre droit au salarié à une indemnité correspondant à 70 % de sa rémunération brute servant d'assiette de l'indemnité de congés payés telle que prévue au II de l'article L. 3141-24 du code du travail ramenée à un montant horaire sur la base de la durée légale du travail applicable dans l'entreprise ou, lorsqu'elle est inférieure, à la durée stipulée au contrat de travail.

La rémunération maximale prise en compte pour le calcul de l'indemnité horaire est égale à 4,5 fois le taux horaire du SMIC.

S’agissant des salariés dont la durée du travail est fixée par forfait en jours sur l’année, en application des dispositions des articles L. 3121-56 et L. 3121-58 du Code du travail, leur indemnisation sera calculée à une proportion de la réduction de la durée du travail applicable au sein de l’entreprise conformément aux dispositions de l’article R. 5122-19 du Code du travail.

Il est rappelé, qu’en application du VIII 3° de l’article 53 de la loi du 17 juin 2020, que les stipulations conventionnelles relatives à l’activité partielle, conclues avant l’entrée en vigueur de ladite loi ne sont pas applicables au dispositif d’activité partielle de longue durée.

La possibilité de lissage de la rémunération au regard des projections de recours à l’activité partielle de longue durée pourra s’envisager au cas par cas.

Il est également convenu que pendant la période d’APLD, les heures de formation seront quant à elles rémunérées à 100% du salaire sans dépassement du net.

Article 6 : Engagements en matière d’emploi

Pendant les périodes d’indemnisations en APLD, l’entreprise s’engage à ne pas procéder au licenciement pour motif économique des salariés de l’UES dont la durée de travail a été réduite en application du présent accord.

Tout salarié en activité partielle aura la latitude de travailler à l’extérieur pendant ses périodes d’activité partielle.

Article 7 : Formation professionnelle

Les salariés placés en activité partielle de longue durée bénéficieront pendant la durée d’application du dispositif :

  • D’un accès privilégié à des actions de formation. Un plan spécifique pourrait s’envisager pour développer les compétences et l’employabilité des salariés en activité partielle.

Article 8 : Prise des congés payés

Afin de limiter le recours à l’activité partielle de longue durée, le présent accord entend favoriser la prise de congés payés, de jours de repos ou de jours de récupération dans les conditions suivantes :

  • Les salariés concernés auront la faculté de demander à l’entreprise d’être placés en congés payés ou en jours de repos lors d’une période où ils doivent être placés en activité partielle de longue durée. Le supérieur hiérarchique fera droit dans la mesure du possible à la demande du salarié au regard des nécessités de bon fonctionnement du service

Article 9 : Utilisation du CPF pendant la durée du dispositif

Afin de réduire l’impact du recours à l’activité partielle de longue durée, l’utilisation du compte personnel de formation (CPF) des salariés sera encouragé pendant les périodes de baisses d’activité. Ainsi :

  • Une aide au choix des formations à suivre sera fournie par l’entreprise

  • Les délais dans lesquels un salarié doit formuler une demande d’absence pour utiliser son CPF sont réduits à 30 jours calendaires si la durée de l'action de formation est inférieure à 6 mois et 60 jours si la durée de l'action de formation est égale ou supérieure à 6 mois

  • Un abondement complémentaire sera versé sur le compte CPF du salarié, dans la limite de 35H, lorsque les droits inscrits sur son compte CPF sont insuffisants pour financer une formation de minimum 3 mois. Cet abondement n’est valable que pour une seule formation par an. Ces dispositions sont applicables sous réserve de l’éligibilité des actions au CPF

Article 10 : Information des organisations syndicales, du CSE et des salariés sur la mise en œuvre et le suivi de l’accord

Tous les trois mois, la mise en œuvre de l’accord fera l’objet d’une information :

  • Des organisations syndicales signataires de l’accord, lors d’une réunion du CSE

  • Du comité social et économique lors d’une réunion ordinaire, ou à défaut extraordinaire, lorsque la périodicité de 3 mois ne peut pas être respectée

  • Des salariés, via leur coffre-fort PRIMOBOX doublé par un affichage sur le site

Les parties signataires conviennent que cette information comportera les éléments suivants :

  • Volume d’heures indemnisées au titre de l’activité partielle en moyenne par service sur le trimestre

  • Nombre de formations engagées sur le trimestre

  • Perspectives sur les 3 mois suivants

Article 11 : Validation de l’accord

L’entrée en vigueur du présent accord est conditionnée par l’obtention d’une décision de validation qui vaut autorisation d'activité partielle spécifique.

Article 12 : Durée de l’accord

Le présent accord prend effet le 01/01/2023. Il est conclu pour une durée de 36 mois.

L’accord expirera en conséquence le 31/12/2025 sans autres formalités et ne sera pas tacitement renouvelé.

Dans les 2 mois qui précèdent cette date, l’entreprise et les organisations syndicales représentatives se rencontreront afin de négocier un éventuel renouvellement du présent accord et les adaptations nécessaires.

Durant cette période, le CSE sera consulté pour chaque mise en œuvre effective des périodes d’APLD pour un maximum de 6 mois consécutifs et 24 mois sur la totalité de la durée de l’accord.

Article 13 : Adhésion

Conformément à l'article L. 2261-3 du Code du travail, toute organisation syndicale de salariés représentative dans l'entreprise, qui n'est pas signataire du présent accord, pourra y adhérer ultérieurement.

L'adhésion produira effet à partir du jour qui suivra celui de son dépôt au greffe du conseil de prud'hommes compétent et à la DDETS-PP.

Notification devra également en être faite, dans le délai de huit jours, par lettre recommandée, aux parties signataires.

Article 14 : Interprétation de l'accord

Les représentants de chacune des parties signataires conviennent de se rencontrer à la requête de la partie la plus diligente, dans les 8 jours suivant la demande pour étudier et tenter de régler tout différend d'ordre individuel ou collectif né de l'application du présent accord.

Les avenants interprétatifs de l’accord sont adoptés à l’unanimité des signataires de l’accord.

Les avenants interprétatifs doivent être conclus dans un délai maximum de 20 jours suivant la première réunion de négociation. A défaut, il sera dressé un procès-verbal de désaccord.

Jusqu'à l'expiration de la négociation d'interprétation, les parties contractantes s'engagent à ne susciter aucune forme d'action contentieuse liée au différend faisant l'objet de cette procédure.

Article 15 : Clause de rendez-vous

Dans un délai de 24 mois suivant l’application du présent accord, les parties signataires s’engagent à se rencontrer en vue d’apprécier s’il est nécessaire d’entamer des négociations relatives au renouvellement ou à l’adaptation du présent accord.

En cas de modification substantielle des textes régissant les matières traitées par le présent accord, les parties signataires s’engagent à se rencontrer dans un délai de 8 jours suivant la demande de l’une des parties signataires en vue d’entamer des négociations relatives à l’adaptation du présent accord.

Article 16 : Révision de l’accord

L’accord pourra être révisé au terme d’un délai de 3 mois suivant sa prise d’effet.

La procédure de révision du présent accord ne peut être engagée que par la Direction ou l’une des parties habilitées en application des dispositions du Code du travail.

L’information devra en être faite à la Direction, lorsque celle-ci n’est pas à l’origine de l’engagement de la procédure, et à chacune des autres parties habilitées à engager la procédure de révision par courrier électronique avec accusé de réception.

Article 17 : Dénonciation de l’accord

Le présent accord pourra être dénoncé par l'ensemble des parties signataires moyennant un préavis de 1 mois. Néanmoins, les parties signataires pourront, à l’occasion de la dénonciation et à l’unanimité, prévoir un délai de préavis différent.

La Direction et les organisations syndicales représentatives se réuniront pendant la durée du préavis pour discuter les possibilités d'un nouvel accord.

Article 18 : Communication de l'accord

Le texte du présent accord, une fois signé, sera notifié à l'ensemble des organisations syndicales représentatives dans l'entreprise

Article 19 : Dépôt de l’accord

Le présent accord donnera lieu à dépôt dans les conditions prévues aux articles L. 2231-6 et D. 2231-2 et suivants du Code du travail. Il sera déposé :

  • sur la plateforme de téléprocédure dénommée «TéléAccords » accompagné des pièces prévues à l’article D. 2231-7 du Code du travail ;

  • et en un exemplaire auprès du greffe du conseil de prud'hommes de Mont de Marsan.

Article 20 : Publication de l’accord

Le présent accord fera l’objet d’une publication dans la base de données nationale visée à l’article L. 2231-5-1 du Code du travail dans une version ne comportant pas les noms et prénoms des négociateurs et des signataires.

Article 21 : Action en nullité

Conformément aux dispositions de l’article L. 2262-14 du Code du travail, toute action en nullité de tout ou partie du présent accord doit, à peine d'irrecevabilité, être engagée dans un délai de deux mois à compter :

  • de la notification de l'accord aux organisations disposant d'une section syndicale dans l'entreprise ;

  • de la publication de l'accord prévue à l'article L. 2231-5-1 dans tous les autres cas.

Signataires de l’accord

Fait le 12 décembre 2022

à Saint-Sever

FO représentée par

agissant en qualité de délégué syndical

CGT représentée par

agissant en qualité de délégué syndical

CGC - CFE représentée par

agissant en qualité de délégué syndical

Direction FERMIERS DU PERIGORD représentée par

agissant en qualité de DRH

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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