Accord d'entreprise "UN ACCORD RELATIF A LA NEGOCIATION ANNUELLE 2019" chez CALBERSON ARMORIQUE

Cet accord signé entre la direction de CALBERSON ARMORIQUE et le syndicat CFDT et CGT le 2019-04-09 est le résultat de la négociation sur les augmentations de salaire (ou diminuton / gel des salaires).

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CFDT et CGT

Numero : T03519002781
Date de signature : 2019-04-09
Nature : Accord
Raison sociale : CALBERSON ARMORIQUE
Etablissement : 30393941700109

Salaire : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur le thème Augmentations de salaire, NAO, évolution de la rémunération UN ACCORD RELATIF A LA NEGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE (NAO) 2018 (2018-02-23) UN ACCORD D'ETABLISSEMENT concernant LA NEGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE 2018 (2018-02-28) ACCORD NAO (2018-02-23) ACCORD SUR LA NEGOCIATION ANNUELE OBLIGATOIRE (2020-02-19) Accord Négociation Annuelle Obligatoire 2021 (2021-02-24) accord relatif négociation annuelle obligatoire 2022 (2022-02-21) Négociation Annuelle Obligatoire 2023 (2023-01-31)

Conditions du dispositif salaire pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2019-04-09

ACCORD RELATIF

A LA NEGOCIATION ANNUELLE 2019

A l’issue de la négociation annuelle obligatoire prévue aux articles L. 2242-5, 2242-8 et suivants du Code du travail, il a été convenu ce qui suit entre :

la société CALBERSON ARMORIQUE représentée par,

agissant en qualité de Directeur d’agence de Cesson Sévigné et Saint Brieuc &

agissant en qualité de directeur d’agence de Lorient, Vannes & Quimper dûment mandatés, d’une part ;

et

L’organisation syndicale représentative de la société :

  • CFDT - CSE Rennes/Saint Brieuc,

  • CFDT - CSE Lorient/Quimper/Vannes,

  • CGT - CSE Rennes/Saint Brieuc,

Après discussions et négociations, il a été convenu et arrêté ce qui suit :

Préambule :

Il est rappelé que les parties se sont rencontrées à plusieurs reprises, soit le 13/02/2019, 22/03/2019, puis le 02/04/2019, puis le 09/04/2019.

Lors de la première réunion de négociation, la direction rappelle qu’elle a remis à la délégation syndicale l’ensemble des informations légales concernant ce type de réunion.

Cette négociation a porté sur les sujets suivants :

  • Rémunérations et temps de travail,

  • Répartition de la valeur ajoutée,

  • Egalité professionnelle et qualité de vie au travail

Les délégués syndicaux ont pu faire part à la Direction des revendications qu’ils entendaient présenter au titre de ces NAO

Au terme de la réunion du 09/04/2019, les parties ont abouti à la conclusion du présent accord.

Article 1- Champ d’application de l’accord

Les dispositions suivantes s’appliquent à l’ensemble des salariés des établissements de la société présents dans l’entreprise au jour de la signature du présent accord, à l’exclusion de l’article 2.1 soumis à des conditions d’applications propres telles que détaillées ci-dessous.

Article 2- Objet de l’accord

2.1 – Augmentations collectives

Il a été convenu d’une augmentation générale des salaires à temps plein selon les modalités suivantes à compter du 01/01/2019 :

1.30% du salaire de base mensuel brut

Cette augmentation s’applique à l’ensemble des salariés tels que défini à l’article 1 à l’exclusion des cadres.

2.2 – Prime d’ancienneté

Il a été convenu d’une augmentation générale des barêmes de la grille d’ancienneté selon les modalités suivantes à compter du 01/01/2019 :

1.20% d’augmentation de chaque barême de la grille d’ancienneté

De plus, il est rappelé que les montants forfaitaires indiqués par échelons d’ancienneté et de classification sont ceux pour des salariés à temps complet. Le montant sera proratisé pour les salariés à temps partiel.

2.7 - Egalité professionnelle hommes et femmes

La Direction a remis des informations concernant la situation comparée des hommes et des femmes en vue de la NAO.

La Direction s’engage à examiner la situation des salaires entre les hommes et les femmes lors d’une réunion ultérieures dans l’année avec les délégués syndicaux.

2.8 – La qualité de vie au travail

Les partenaires ont échangé sur les mesures et moyens mis en œuvre pour garantir et développer la qualité de vie au travail.

Site de Lorient/Quimper/Vannes :

  • Déploiement de formations spécifiques d’adaptation de sa posture à son poste de travail pour tous les collaborateurs (agents de quai / conducteurs / personnel administratif / superviseurs / commerce).

Site de Rennes et Saint Brieuc

  • Nouvelle halle en production au 1°janvier.

  • Agencement des bureaux ( SRC & exploitation )

  • Aménagement de la halle express & messagerie ( St Brieuc)

  • Rideau pneumatique camion Pl + siège grand confort .

  • Marquage extérieur.

  • Eclairage camion avec Led.

  • Store dans bureau.

  • Démarche XO.

  • Café pour les personnels de quai (idem 2018)

Sur l’ensemble des sites, la démarche de prévention des risques routiers a été mis en place via des affichages, courrier adressé à chaque conducteur, Top conducteur sur ce sujet, puis un entretien entre conducteur et le DA sur l’évitabilité du sinistre, un accompagnement des conducteurs multi accidentés, et des ateliers de prévention.

2.9 – Infrastructures

Au 1° janvier 2018, mise en production de la nouvelle halle (Cesson Sévigné) et équipement sur l’ensemble du site d’un éclairage LED. L’agencement des bureaux (SRC & exploitation, constituent aussi des points fort d’amélioration au poste de travail.

Sur le site de St Brieuc, aménagement de la halle express & messagerie favorisant ainsi les circuits courts pour l’ensemble des équipes de production.

Sur le site Lorient : réfection éclairage cour (LED)

Remplacement des standards téléphoniques et de tous les postes téléphones agence (LQV)

Après le site de Lorient, aménagement des quais de Vannes (ponts niveleurs), investissement similaire programmé pour Quimper

Réfection des peintures des bureaux et de l’exploitation (Quimper)

Remplacement de la toiture de quai (Vannes)

2.10– Matériel de travail

La Direction a investi sur les agences soit par l’achat de clefs café personnel de nuit, l’éclairage camion avec Led, soit par l’achat de transpalettes à levée rapide, de transpalettes à conducteur accompagnant électrique (CITY ONE), renouvellement des casques sans fil en fonction des besoins.

De plus, la Direction prendra en cas de renouvellement du parc de véhicule PL l’option d’équiper ces derniers de rideau pneumatique camion PL et/ou de siège grand confort (en lien avec les dates d’échéance des véhicules). + BVA

Renouvellement des transpalettes électriques avec batteries haute capacité à recharge rapide & sans entretien

Réfection des affichages (MD / rappel ports des EPI), pose de ralentisseurs sur sites pour limiter la vitesse de circulation

Mise en conformité des Kits ADR et Santé (Quai et dans chaque véhicule)

Renouvellement des vêtements de travail (LQV)

2.11 – Management

Les formations de management de proximité ont eu lieu en 2018, et un nouveau prestataire a été retenu pour ces formations en 2019.

Il a été créé également des groupes de travail sur l’analyse des accidents de travail avec la participation de managers et de salariés et d’élus du CSE.

La poursuite des entretiens bi annuels avec les managers.

2.12 – Communication

L’ensemble des collaborateurs est régulièrement tenu informé de l’actualité du Goupe et de l’agence par la diffusion en interne du Geodis Mag, du Top Infos de France Express, du GO et de la lettre agence.

Sur les deux agences, une télévision a été installée dans la salle d’exploitation avec chaque jour le relais du top conducteurs et d’autres informations ;

Des Tops informations sont organisés par petit groupe de collaborateurs au sein de l’agence.

2.13 – Avantages sociaux

La société garantit à chaque collaborateur de nombreux avantages sociaux tant financiers que qualitatifs.

Il convient ainsi d’en lister les principaux :

La prime dite de « treizième mois »,

La prime d’ancienneté,

Les tickets restaurant ou indemnités repas pour le personnel concerné,

Des accords de participation et d’intéressement, ce dernier fera l’objet d’une réunion en avec les délégués syndicaux centraux,

Un PEG et un PERCO bénéficiant d’un abondement de l’entreprise,

Une couverture mutuelle et prévoyance,

Une politique de formation en évolution constante,

La bourse de l’emploi INJOB et l’accompagnement de la mobilité,

Les démarches sécurité et environnementale

La possibilité pour l’ensemble des collaborateurs de bénéficier d’offres de prêt par le Groupe SOCRIF, filiale à 100 % de la SNCF, et qui ouvre ses à tout le personnel du Groupe GEODIS : Prêts immobiliers, prêts personnels, rachat de crédits et vente de véhicules neufs

2.14 – Dispositifs d’insertion et de soutien

En matière de handicap, chaque collaborateur qui souhaite s’inscrire dans une démarche de reconnaissance de travailleur handicapé dispose pour ce faire d’une journée de congé rémunéré afin d’instruire son dossier auprès de l’administration.

La Direction entend également renouveler l’attribution d’une journée de congé rémunéré supplémentaire au profil du personnel déclaré handicapé.

Ce jour de congé RQTH sera accordé au 01/01/2019 sous condition d’une présence minimale de 6 mois sur l’année 2018, au profit du personnel reconnu travailleur handicapé (RQTH) par la MDPH sur 2018, où les victimes d’AT/MP ayant entrainé une incapacité permanente au moins égale à 10%.

Ce jour de congé sera à prendre avant la fin de l’année civile .

Campagne d’insertion au profil des jeunes diplômés par le recrutement de contrats de professionnalisation/apprentissages pour le remplacement des départs en CFA ou de retraite

Enfin, la Direction rappelle le dispositif d’aide et de soutien psychologique assuré par l’organisme Réhalto, service confidentiel d’écoute et d’accompagnement psychosocial afin d’aider les salariés et leurs ayants-droit à résoudre des difficultés.

La Direction propose par ailleurs d’opérer prochainement une campagne d’information « Qualité de vie au travail » auprès des collaborateurs pour rappeler ces différents axes d’accompagnement et d’investissements de l’entreprise sur ce sujet. ?

2.15 – droit à la déconnexion

La Direction s’engage également à veiller au bon respect du droit à la déconnexion des collaborateurs.

Ainsi la Direction rappelle dans ce cadre que les collaborateurs ne sont pas tenus de répondre aux mails et appels téléphoniques en dehors des horaires de travail, sauf situation exceptionnelle et impérieuse motivée par le bon fonctionnement du service et dûment justifiée.

Il est également rappelé dans ce cadre que le fait de n'avoir pu être joint en dehors des horaires de travail sur son téléphone portable personnel est dépourvu de caractère fautif.

Pour les collaborateurs travaillant en « forfait jour », un point est fait chaque année dans le cadre des entretiens annuels de performance.

De la même manière, il n’y a aucune obligation de répondre aux mails reçus sur les smartphones professionnels entre 21h et 7h du matin, et du vendredi 21h au lundi 7h pour les collaborateurs travaillant sur un horaire jour et selon une organisation de travail du lundi au vendredi.

D’une manière générale, les managers veilleront également à la « déconnexion » de leur équipe. Cela passera notamment par une attitude exemplaire dans l'utilisation des outils numériques, en se déplaçant si possible pour parler à ses collaborateurs plutôt que d'envoyer un email, ou en privilégiant, tout du moins, tout moyen de nature à favoriser l’échange direct.

Les managers s'assurent également du suivi régulier du temps de travail de leur équipe sur l'outil de Gestion des temps de l'entreprise.

Une charte rappelant les bonnes pratiques sur ce sujet est également en cours de déploiement.

Article 3 - Durée et application de l'accord

Le présent accord est conclu pour une durée déterminée d'un an, soit à compter du
1er janvier 2019 au 31 décembre 2019.

A cette dernière date, il cessera automatiquement de produire effet ; cette clause constituant la stipulation contraire prévue à l’article L. 2222-4 du Code du travail.

Article 4 – Dépôt et publicité de l’accord

Conformément à la loi, le présent accord sera déposé en 2 exemplaires dont l’un signé des parties et l’autre sous format électronique à la DIRRECTE d’ Ille et Vilaine et en un exemplaire au secrétariat Greffe du Conseil de Prud'hommes de Rennes.

Le présent document ne fera l’objet que d’une publication partielle. Les articles 2.3 à 2.6 ne seront pas rendus public pour les raisons suivantes : information sensible et confidentielle sur la situation de l’entreprise.

En outre, un exemplaire sera établi pour chaque partie signataire.

Fait à Cesson Sévigné, le 09/04/2019

Pour la Direction :

Pour l’ organisation syndicale :

Pour la CFDT,

Pour la CGT,

Annexe relative aux mesures liées à l’égalité Hommes/Femmes au sein de l’entreprise

Article 1 - Recrutement

La société fonde sa politique de recrutement sur les seules compétences, expériences professionnelles, formations et qualifications des candidats. Le processus de recrutement (interne comme externe) est appliqué de la même manière que les candidats soient des femmes ou des hommes.

Afin d’assurer la mixité de ses emplois La société s’engage à veiller à une mixité des recrutements par différentes actions listées ci après :

1.1 – Développement de la mixité des candidatures

La société veille à ce que les stéréotypes liés au sexe ne soient pas véhiculés dans la rédaction des offres d’emploi (internes et externes) ou de stage

La société s’engage à modifier, le cas échéant, les intitulés et/ou descriptifs de postes et de métiers qui contiendraient toute appellation discriminatoire à l’égard du sexe ou qui véhiculeraient des stéréotypes.

De manière générale, l’entreprise favorise des terminologies qui rendent les offres accessibles et attractives autant aux femmes qu’aux hommes.

La société se fixe pour objectif  que 100% des annonces publiées chaque année respectent ces engagements.

L’atteinte de cet objectif chiffré sera mesurée chaque année au moyen des indicateurs suivants :

  • Nombre total d’offres d’emploi ou de stage publiées par Calberson XXX sur l’année n-1

  • Nombre d’offres d’emploi ou de stage publiées par Calberson XXX sur l’année n-1 conformes aux engagements ci-dessus.

1.2 – Processus Recrutements

La coexistence de profils variés est une source de complémentarité, d’équilibre social et d’efficacité économique permettant à l’entreprise de s’entourer des meilleures compétences, participant ainsi à la réussite de la société, ce qui facilite la compréhension et la satisfaction des clients de l’entreprise. C’est pourquoi il est notamment dans l’intérêt de l’entreprise de faire travailler ensemble des hommes et des femmes.

La société réaffirme son attachement à ces valeurs. Elle s’assurera que pour chaque procédure de recrutement la part de femmes parmi les candidats reçus en entretien reflète, à compétences, expériences et profils équivalents, celle des candidats recrutés.

Un suivi du taux de féminisation des candidatures sera assuré à ce titre.

L’atteinte de cet objectif sera mesurée chaque année au moyen des indicateurs suivants :

Nombre de candidats reçus en entretien par sexe,

  • Nombre de recrutements réalisés par sexe,

  • Taux de féminisation des candidatures

1.3 – Communication des objectifs de la société à nos partenaires externes de recrutement

La société est sensible à la mixité au sein de ses équipes. Ainsi, il est important que sa politique sociale et ses processus de recrutement soient connus et appliqués par ses partenaires externes (cabinets de recrutement, agences d’intérim, sous-traitants…).

Pour cela La société se fixe pour objectif de communiquer de manière régulière auprès de ses partenaires de l’ensemble des mesures et objectifs consacrés à l’égalité hommes/femmes au sein de l’entreprise.

Une communication annuelle y sera consacrée.

La réalisation de cet objectif sera mesurée par l’indicateur suivant :

  • Nombre de partenaires externes intervenant dans nos processus de recrutement.

  • Suivi du nombre de partenaires externes intervenant dans nos processus de recrutement. sensibilisés aux engagements pris.

Article 2 – Rémunération

2.1 – Principe

La société proscrit toute différence de rémunération entre les hommes et les femmes à compétences, expérience, diplômes, ancienneté égales.

2.2 – Congé de maternité

L’entreprise s’attache à ce que les collaboratrices en congé maternité puissent bénéficier du maintien de leur rémunération pendant une certaine période. C’est pour cela que l’entreprise s’engage à maintenir 100% du salaire de base (hors primes ou variables relatives à l’activité, indemnités journalières de Sécurité Sociale comprises) des collaboratrices en congé maternité et justifiant d’au moins 12 mois de présence à la date de l’accouchement pendant une période de 112 jours calendaires.

Au-delà de cette période, les collaboratrices se voient appliquer les mêmes modalités d’indemnisation que pour l’absence maladie.

La réalisation de cet objectif sera mesurée au moyen des indicateurs suivants :

  • Nombre de collaboratrices parties en congé de maternité durant la période,

  • Nombre de collaboratrices parties en congé de maternité ayant bénéficié de ce maintien de salaire.

2.3 – Congé de paternité et 13è mois

Les jours pris par les collaborateurs au titre du congé de paternité seront pris en compte lors du calcul de leur treizième mois, dès lors qu’ils justifient d’au moins 12 mois de présence à la date de l’accouchement. En d’autre terme, le congé paternité ne sera plus une cause d’abattement du treizième mois des collaborateurs.

La réalisation de cet objectif sera mesurée chaque année au moyen des indicateurs suivants :

  • Nombre de collaborateurs partis en congé paternité au cours de l’année n-1,

  • Nombre de collaborateurs partis en congé paternité ayant bénéficié de ce non abattement du 13ème mois.

Article 3 - Formation professionnelle

3.1 - Organisation et aménagement des formations

La société s’attache à prendre en considération les contraintes familiales de ses collaborateurs.

Pour cela et dans la mesure du possible, les contraintes de déplacement seront réduites au maximum en privilégiant notamment, à niveau de qualité de formation égale, la formation la plus proche du lieu de travail des collaborateurs. Par exemple, les départs en formation dès le dimanche soir (en raison de l’éloignement entre le domicile et le lieu de formation) doivent être évités.

De même, pour les formations adaptées, l’entreprise pourra également favoriser le e-Learning.

Afin d’éviter les difficultés d’organisation éventuelles, l’entreprise souhaite donc favoriser les formations dans les locaux aux heures de travail habituelles des salariés. Elle se fixe pour objectif qu’au moins 80% des sessions de formations se déroulent dans ces conditions.

La réalisation de cet objectif chiffré sera mesurée chaque année aux moyens des indicateurs suivants :

  • Nombre de formations réalisées,

  • Nombre de sessions de formation effectuées dans les locaux de l’entreprise,

  • Nombre de formations suivies en e-learning.

3.2 – « Parcours d’intégration bis »

Pour de nombreuses raisons (congés maternité, congés parentaux, congés sabbatiques, maladie etc.), les collaborateurs sont amenés à s’absenter provisoirement de l’entreprise pour une durée plus ou moins longue.

Conscients des difficultés qui peuvent être rencontrées par ces collaborateurs lors de leur retour à leur poste de travail, la société souhaite mettre en place un « parcours d’intégration bis ». Celui-ci, organisé en interne, permettra aux salariés absents durant une période supérieure à 6 mois de bénéficier d’une attention particulière.

Lors de ce parcours, les collaborateurs seront initiés aux nouveaux process déployés pendant leur absence.

Pour assurer l’efficacité de cette mesure, l’entreprise s’engage à ce que 100% des collaborateurs dans la situation décrite ci-dessus bénéficie, de ce « parcours d’intégration bis » dans un délai de maximum 15 jours suivant leur retour.

La réalisation de cet objectif chiffré sera mesurée chaque année au moyen des indicateurs suivants :

  • Nombre de salariés réintégrant l’entreprise après une absence supérieur à 6 mois durant l’année N -1

  • Nombre de « parcours d’intégration bis » réalisés au cours de l’année N -1.

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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