Accord d'entreprise "AVENANT N° 19 PORTANT REVISION DE L’ACCORD D’HARMONISATION DES TEMPS DE TRAVAIL AU SEIN DU GIE SIG DU 29 JUIN 2004 (Supervision Temps Réel) AINSI QUE DE L’AVENANT N° 16 DU 23 SEPTEMBRE 2020 (entités spécifiques : activités d’AE) EN SON ARTICLE 1-5" chez GROUPAMA SYSTEMES D'INFORMATION - GROUPAMA SUPPORTS ET SERVICES (Siège)
Cet avenant signé entre la direction de GROUPAMA SYSTEMES D'INFORMATION - GROUPAMA SUPPORTS ET SERVICES et le syndicat CFDT et CGT et CFE-CGC le 2022-05-02 est le résultat de la négociation sur le système de primes, les autres dispositifs d'aménagement du temps de travail.
Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CFDT et CGT et CFE-CGC
Numero : T07522042084
Date de signature : 2022-05-02
Nature : Avenant
Raison sociale : GROUPAMA SUPPORTS ET SERVICES
Etablissement : 41054695600013 Siège
Temps de travail : les points clés de la négociation
La négociation s'est portée sur les thèmes suivants
Conditions du dispositif temps de travail pour les salariés : le texte complet de l'avenant du 2022-05-02
AVENANT N°19 pORTANT REVISION DE L’ACCORD d’HARMONISATION DES TEMPS DE TRAVAIL au sein du GIE SIG du 29 juin 2004
(Supervision Temps Réel) AINSI QUE DE L’AVENANT N°16 DU 23 SEPTEMBRE 2020 (entités spécifiques : activités d’analyse d’exploitation) EN SON ARTICLE 1-5
Entre d’une part,
Le GIE Groupama Supports & Services, dont le siège social est situé 8-10 rue d’Astorg 75008 Paris, représenté par Monsieur, Directeur Général, agissant en qualité de Directeur Général,
Et d’autre part,
- la CFDT, représentée par…….. ……………………………….…………..,en qualité de délégué Syndical
- la CFE-CGC, représentée par…. ………….…………………….........,en qualité de délégué Syndical
- la CGT, représentée par ………………………………………………….…,en qualité de délégué Syndical
- l’UNSA 2A, représentée par …………………………………………….., en qualité de délégué Syndical
Les parties au présent avenant conviennent des dispositions suivantes :
Article 1 : ROLE et Fonctionnement Supervision temps reel (str)
La Supervision Temps Réel (STR) est un dispositif mis en place pour assurer :
Une forte réactivité, en faveur des clients de G2S, dans la prise en charge rapide de tous les incidents afin d'en assurer leur résolution dans les meilleurs délais au moyen des contributions des spécialistes participant au STR en priorité mais également si nécessaire de contributions d'experts techniques et applicatifs au sein de la Production Informatique, identifiée à date en tant que DTPI au sein de l’organisation, ou des Etudes et du Développement Informatique, identifiées à date en tant que DEDP au sein de l’organisation.
Le traitement proactif des alertes techniques ou applicatives au travers des outils de supervision, afin de corriger des anomalies avant que celles-ci n’impactent la qualité de service des clients de G2S.
Ce dispositif concourt ainsi au respect des engagements de G2S sur la qualité de service auprès de ses clients.
Il est le point d’entrée unique pour les incidents majeurs des applicatifs transactionnels et est en lien direct avec les activités de Gestion Des Incidents et Télépilotage notamment.
Le système d’information évoluant en permanence, le STR est ainsi une source très opérationnelle de maintien des connaissances voire d’acquisition de nouvelles connaissances pour les collaborateurs.
Le fonctionnement STR repose sur :
la contribution de spécialistes de domaines techniques identifiés,
la mobilisation, à la semaine, de ces mêmes spécialistes de la Production Informatique et des Etudes, et du Développement informatique
l’analyse et dans la mesure du possible le traitement centralisé par ces différents spécialistes des incidents d’origine techniques et fonctionnels qui pourraient perturber la mise à disposition des applications informatiques utilisées par les entreprises membres du GIE Groupama Supports & Services.
Les compétences techniques contribuant au fonctionnement STR sont identifiées en fonction :
du niveau d’adhérence entre les différentes applications critiques et les périmètres techniques associés,
de la nature et du nombre d’incidents des périmètres techniques,
des risques liés à une évolution particulière, par exemples montée de version, changements techniques…,
de la criticité permanente ou sur une période donnée (travaux de fin d’année, arrêtés de comptes…) d’un applicatif informatique.
Le principe général d’intégration d’un nouveau collaborateur au STR s’organise au travers d’un dispositif de formation/monitorat. Une formation sur les outils et les process est réalisée par le manager du collaborateur ou à défaut par un sachant expérimenté. Elle est adaptée en fonction des connaissances du collaborateur. Dans la continuité, un monitorat de proximité assuré par un sachant est mis en place. Ce monitorat est déployé pendant les premières mises en situation réelles pour une durée de l’ordre de 3 semaines de rotations. Cette durée peut être prolongée en fonction des besoins exprimés et constatés par le collaborateur et le sachant.
Dans l’hypothèse d’une participation au STR du sachant, celui-ci bénéficiera au prorata de sa participation de la compensation prévue à l’article 4 du présent avenant, si ce sachant n’est pas déjà intégré au dispositif STR lui donnant droit à la perception de cette compensation.
D’un commun accord entre les parties signataires, il est précisé que le présent avenant repose sur un nécessaire équilibre entre les aspects de qualité de service, de qualité de vie au travail des salariés contributeurs au fonctionnement STR et d’enjeux économiques de son fonctionnement.
Le présent avenant traduit donc la volonté partagée des parties signataires de veiller à la qualité de vie au travail des salariés en lien avec l’efficacité collective de l’entreprise.
Il est précisé que le présent avenant s’applique aux salariés de Groupama Supports & Services contribuant au fonctionnement STR.
Article 2 : ORGANISATION DES CONTRIBUTIONS au fonctionnement du STR
2-1 : Identification des domaines techniques et des salariés contribuant au fonctionnement STR
Les périmètres techniques ci-dessous (décrits en annexe au présent avenant) participent au fonctionnement du STR :
Nombre de postes | ||
Domaine technique | Matin | Après-midi |
Réseau | 2 (soit 1 compétence Data Center et 1 compétence réseau d’accès clients et téléphonie) |
2 (soit 1 compétence Data Center et 1 compétence réseau d’accès clients et téléphonie) |
Middleware | 1 | 1* |
Système et média | 1 | 1* |
Spécialiste gestion du document (application, progiciel et plateforme) |
1 | 1 |
Spécialiste application OPEN (application, progiciel et plateforme) |
2 | 2 |
Pilote STR | 1 | 1 |
*Comme indiqué à l’article 2-2-1-4 du présent avenant, lors des montées de version et des changements techniques et applicatifs majeurs (ces périodes sont estimées à 10 semaines maximum par an), les contributions au STR Middleware et Système-Médias s’effectuent également sur la plage 2.
Les contributions réalisées sur le domaine technique Spécialiste gestion du document par les salariés de l’équipe Exploitations des applications au sein de la Direction des Etudes, Développements et Programmes systèmes d’information, sont effectuées par les mêmes salariés assurant sur cette semaine-là, les plages 1 et 3 de l’avenant n°16 à l’accord d’harmonisation du temps de travail du GIE SIG du 29 juin 2004 (hors périodes de montée de version ou de changements techniques ou applicatifs majeurs qui sont estimées à 10 semaines maximum par an).
La participation des salariés au mode de fonctionnement STR dans les conditions ci-après définies ne modifie pas :
le lieu d’exercice de leur activité. Il est précisé que dans ce cadre, seuls les salariés travaillant sur les sites de Castelnau et de Mordelles sont concernés par le présent avenant,
leur mission et leur responsabilité. Il est néanmoins précisé que cette participation devra figurer explicitement dans leur lettre de missions comme étant l’un des moyens d’exercer celles-ci,
leur structure de rattachement,
le cas échéant, leur formule de temps partiel choisi,
leur mode de gestion du temps de travail sur l’année même si des périodes de suspension de celui-ci ont lieu lors de leur participation au STR.
La Direction s’engage à examiner toute situation individuelle qui serait portée à sa connaissance et présentée comme étant une impossibilité du (de la) salarié(e) à contribuer au fonctionnement du STR dans les conditions fixées par le présent avenant. A l’examen, si cette impossibilité était avérée et justifiée, la Direction s’engage à rechercher une solution palliative prenant en compte la situation ainsi constatée.
Afin d'assurer la continuité du service STR, le pilote STR veille, en concertation avec les intéressés, à ce que les salariés participant au STR ne participent pas à une Cellule de Crise si l'activité courante au STR au moment de la sollicitation ne permet pas la disponibilité demandée.
Pour des opérations particulières, par exemple de type montée de version, migration et/ou fusion de systèmes d’information ou changements importants, il pourra être fait appel à des compétences de domaines d’activités qui ne sont pas référencés comme étant contributeurs au fonctionnement STR. Ces participations étant exceptionnelles, elles ne relèvent pas du présent avenant. Elles sont régies par les dispositions de l’accord relatif à l’harmonisation des temps de travail au sein du GIE SIG en date du 29 juin 2004 et notamment par l’article 17 sur les permanences occasionnelles dès lors que les modalités de participations individuelles répondent aux conditions fixées par cet article.
2-2 : Dispositif de mise en œuvre des contributions au fonctionnement STR
Afin de permettre une prise en compte des incidents dans la meilleure conformité de délai avec les contrats de service en vigueur et donc d’assurer l’ouverture des TP aux horaires figurant dans ces derniers, les spécialistes précédemment identifiés participent au STR du lundi au samedi matin inclus selon les modalités définies ci-dessous.
Les alternances du matin et de l’après-midi sont organisées de façon à assurer la continuité du service.
Par ailleurs, la hiérarchie veillera au respect des limites annuelles de contributions complètes fixées ci-après pour chaque domaine technique, sous réserve de la souplesse de rotations supplémentaires.
Ainsi, par dérogation, un collaborateur pourra être amené exceptionnellement sur la plage 1, 1 bis ou 2 à effectuer un nombre de contributions supérieur au nombre annuel maximum de contributions complètes mentionné dans le présent avenant, dans la limite de 2 rotations supplémentaires, en cas de circonstances exceptionnelles listées ci-après : absences ou congés imprévus de la part d’un participant planifié, concentration de demandes de congés sur la même période et dans le cadre d’une auto-organisation de l’équipe, mouvements de sortie du dispositif STR avec exigence de remplacement.
L’organisation des contributions au STR relève de la décision de la hiérarchie dans le respect du présent avenant et en concertation avec les salariés concernés, en privilégiant le choix exprimé par ces derniers quant à la fréquence des rotations. Il est rappelé à cet égard, que le nombre maximum de contributions annuel défini ci-après pour chaque domaine technique ne s’impose pas aux salariés concernés.
2-2-1 : Organisation des contributions par domaines techniques Réseau, spécialiste gestion du document, spécialiste application OPEN, Middleware et Système – Médias
2-2-1-1 : Organisation des contributions des domaines techniques Réseau
Les contributions au STR pour le domaine technique Réseau s’effectuent en alternance sur les plages 1 ou 1 bis et sur la plage 2 une fois toutes les 3 semaines1 au plus.
Ainsi les salariés amenés à effectuer ces contributions travaillent le samedi matin une fois toutes les 3 semaines au plus.
Quels que soit les plages horaires (plages 1, 1 bis et 2) et les jours de la semaine concernés par les contributions au STR, le nombre annuel de ces dernières pour un salarié y participant est limité à 15 contributions. La période de référence est l’année calendaire, soit du 1er janvier au 31 décembre. Dans le cas d’une entrée dans ce dispositif en cours d’année civile, cette limitation sera calculée prorata temporis arrondi à l’entier supérieur.
2-2-1-2 : Organisation des contributions des domaines techniques spécialiste application OPEN
Les contributions au STR pour le domaine technique Spécialiste application OPEN s’effectuent en alternance sur les plages 1 ou 1 bis (une fois toutes les 3 semaines au plus2) et sur la plage 2.
Ainsi les salariés amenés à effectuer ces contributions travaillent le samedi matin une fois toutes les 3 semaines au plus.
Quels que soit les plages horaires (plages 1, 1 bis et 2) et les jours de la semaine concernés par les contributions au STR, le nombre annuel de ces dernières pour un salarié y participant est limité à 17 contributions. La période de référence est l’année calendaire, soit du 1er janvier au 31 décembre. Dans le cas d’une entrée dans ce dispositif en cours d’année civile, cette limitation sera calculée prorata temporis arrondi à l’entier supérieur.
2-2-1-3 : Organisation des contributions du domaine technique spécialiste gestion du document
Les contributions au STR pour le domaine technique spécialiste gestion du document s’effectuent en alternance sur les plages 1 ou 1 bis et sur la plage 2 une fois toutes les 3 semaines3 au plus.
Ainsi les salariés amenés à effectuer ces contributions travaillent le samedi matin une fois toutes les 3 semaines au plus.
Quels que soit les plages horaires (plages 1, 1 bis et 2) et les jours de la semaine concernés par les contributions au STR, le nombre annuel de ces dernières pour un salarié y participant est limité à 13 contributions. La période de référence est l’année calendaire, soit du 1er janvier au 31 décembre. Dans le cas d’une entrée dans ce dispositif en cours d’année civile, cette limitation sera calculée prorata temporis arrondi à l’entier supérieur.
2-2-1-4 : Organisation des contributions des domaines techniques Middleware et Système – Médias
Les contributions au STR pour le domaine technique Middleware et Système – Médias s’effectuent en alternance sur les plages 1 ou 1 bis une fois toutes les 3 semaines4 au plus.
Ainsi les salariés amenés à effectuer ces contributions travaillent le samedi matin une fois toutes les 3 semaines au plus.
Quels que soit les plages horaires (plages 1 et 1 bis) et les jours de la semaine concernés par les contributions au STR, le nombre annuel de ces dernières pour un salarié y participant est limité à 7 contributions. La période de référence est l’année calendaire, soit du 1er janvier au 31 décembre. Dans le cas d’une entrée dans ce dispositif en cours d’année civile, cette limitation sera calculée prorata temporis arrondi à l’entier supérieur.
Par ailleurs, lors des montées de version et des changements techniques et applicatifs majeurs (ces périodes sont estimées à 10 semaines maximum par an), les contributions au STR Middleware et Système-Médias s’effectuent également sur la plage 2.
2-2-2 : Plages des contributions des domaines techniques Réseau, spécialiste gestion du document, spécialiste application OPEN, Middleware et Système – Médias
Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche | |
Equipe 1 Plage 1 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-11h Repos à partir de 11h (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
Pause repas de 30 minutes incluse à prendre entre 11h30 et 13h00 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 7 heures et après 14h30 |
|||||||
Equipe 1 Plage 1bis |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-11h Repos à partir de 11h (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
Pause repas d’1h30 minutes incluse à prendre entre 11h30 et 13h00 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 7 heures et après 15h30 |
|||||||
Equipe 2 Plage 2* |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
Repos (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
Pause repas de 30 minutes incluse à prendre entre 13h00 et 13h30 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 10h42 et après 19h00 |
*Pour rappel, comme indiqué à l’article 2-2-1-4 du présent avenant, lors des montées de version et des changements techniques et applicatifs majeurs (ces périodes sont estimées à 10 semaines maximum par an), les contributions au STR Middleware et Système-Médias s’effectuent également sur la plage 2.
Pour les salariés ayant travaillé sur la plage 1 ou 1 bis, le choix d’une pause repas de trente minutes ou d’une heure et trente minutes est à l’initiative des salariés sous réserve de la validation de la hiérarchie en considération de la continuité du service à assurer entre 11h30 et 13 heures.
Ce choix s’inscrit dans le cadre de la planification trimestrielle définie à l’article 3 ci-après.
2-2-3 : Organisation des contributions au STR des Pilotes STR
Les contributions au STR des Pilotes STR s’effectuent en alternance sur les plages 1 ou 1 bis et sur la plage 2 une fois toutes les 3 semaines5 au plus.
Ainsi les salariés amenés à effectuer ces contributions travaillent le samedi matin une fois toutes les 3 semaines au plus.
Quels que soit les plages horaires (plages 1, 1 bis et 2) et les jours de la semaine concernés par les contributions au STR, le nombre annuel de ces dernières pour un salarié y participant est limité à 12 contributions. La période de référence est l’année calendaire, soit du 1er janvier au 31 décembre. Dans le cas d’une entrée dans ce dispositif en cours d’année civile, cette limitation sera calculée prorata temporis arrondi à l’entier supérieur.
2-2-4 : Plages des contributions au STR des Pilotes STR
Les pilotes STR couvriront par rotations individuelles les plages horaires de travail suivantes :
Samedi | Dimanche | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | |
Equipe 1 Plage 1 |
STR 7h00-11h Repos à partir de 11h (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
STR 7h00-14h30 |
Pause repas de 30 minutes incluse à prendre entre 11h30 et 13h00 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 7 heures et après 14h30 |
|||||||
Equipe 1 Plage 1bis |
STR 7h00-11h Repos à partir de 11h (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
STR 7h00-15h30 |
Pause repas d’1h30 minutes incluse à prendre entre 11h30 et 13h00 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 7 heures et après 15h30 |
|||||||
Equipe 2 Plage 2 |
Repos (ni astreinte ni travail) |
Repos (ni astreinte ni travail) |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
STR 10h42-19h |
Pause repas de 30 minutes incluse à prendre entre 13h00 et 13h30 Aucune astreinte ne peut avoir lieu avant 10h42 et après 19h00 |
Pour les salariés ayant travaillé sur la plage 1 ou 1 bis, le choix d’une pause repas de trente minutes ou d’une heure et trente minutes est à l’initiative des salariés sous réserve de la validation de la hiérarchie en considération de la continuité du service à assurer entre 11h30 et 13h00 heures.
Ce choix s’inscrit dans le cadre de la planification trimestrielle définie à l’article 3 ci-après.
2-3 : Durée du travail lors des contributions au STR
La durée hebdomadaire de référence s’établit à 39 heures.
Le mode de gestion du temps de travail des salariés contribuant au STR est ainsi momentanément suspendu. A l’issue de leur participation hebdomadaire, il est automatiquement remis en vigueur.
Les salariés à temps partiel conservent leur formule de temps partiel choisi. Ils seront néanmoins amenés à effectuer des heures complémentaires dans les limites de la réglementation pour assurer la plage du samedi matin.
La hiérarchie veille à ce qu’un salarié participant au STR n’effectue aucune astreinte ou intervention la nuit et le week-end durant la semaine concernée. La hiérarchie ainsi que les salariés eux-mêmes doivent s’assurer que les durées légales maximales de travail sont respectées.
Il est précisé que les temps de pauses indiqués dans le présent texte ne sont pas considérés comme du temps de travail effectif.
2-4 : Activité hebdomadaire hors STR
Les salariés ayant travaillé sur la plage 1 ou 1 bis prennent dans la semaine civile suivant leur participation au STR :
-pour les salariés au décompte horaire, 4 heures de repos,
-pour les salariés au forfait jours, une demi-journée de repos,
en récupération du travail effectué le samedi.
La journée de la semaine où doit être pris ce temps de récupération sera choisie à l’initiative du salarié, en accord avec sa hiérarchie. Par préférence, ce temps de récupération pourra être pris le lundi matin suivant la semaine de contribution au STR, ce qui pourra ainsi permettre une durée de repos hebdomadaire équivalente à deux journées consécutives. Un suivi particulier de ces temps de récupération sera réalisé par la hiérarchie et transmis au CERH-Paie.
Les Pilotes STR ayant travaillé sur la plage 1 ou 1 bis prennent dans la semaine civile précédent leur participation au STR :
- pour les salariés au décompte horaire, 4 heures de repos,
- pour les salariés au forfait jours, une demi-journée de repos,
en récupération du travail effectué le samedi.
Article 3 : PLANIFICATION DES CONTRIBUTIONS AU STR
Un planning prévisionnel nominatif et annuel de contribution au STR sera réalisé par la hiérarchie et transmis aux équipes concernées au plus tard à la fin du mois d’octobre de chaque année pour l’année suivante. Cette prévision sera affinée et adaptée tout au long de l’année en donnant lieu à la production et la communication par le management aux équipes concernées d’un planning trimestriel.
Cette prévision tiendra compte de la prise, par chaque salarié, de jours de congés (congés payés, JRTT etc.) et dans le respect des dispositions de l’accord relatif à l’harmonisation des temps de travail au sein du GIE SIG du 29 juin 2004 et des dispositions légales en vigueur.
Chaque planning nominatif et trimestriel est transmis aux équipes un mois avant le 1er jour du trimestre civil concerné.
Ces plannings prévisionnels indiquent le nom des salariés devant être présents chaque semaine de l’année et du trimestre sur chacune des plages horaires et ce en concertation avec les intéressés.
Le planning nominatif et trimestriel des contributions au fonctionnement STR sera affiché dans les bureaux hébergeant le STR.
De manière générale, la hiérarchie veille au respect du principe de roulements individuels entre les plages 1 ou 1 bis et 2.
La hiérarchie veillera également à ce qu’un même salarié ne réalise pas deux semaines d’affilée au STR. Pour des raisons opérationnelles (montée de version ou changement technique et applicatif majeur notamment), un même salarié pourra réaliser une semaine au STR sur la plage 1 et la semaine suivante sur la plage 2. Dans cette hypothèse, le salarié devra prendre sa récupération du samedi travaillé sur la plage 1 dans un délai de 4 semaines suivant la rotation effectuée sur la plage 2.
Par ailleurs, le responsable peut prévoir des changements, des allégements ou annulations de plages en raison d’événements imprévus, ou encore pour respecter la limite du nombre de rotations précédemment fixé, qui impactent l’organisation du travail initialement planifiée. Ces changements doivent être programmés, autant que faire se peut, au minimum une semaine avant leur mise en œuvre, ce délai de prévenance pouvant être réduit à un jour franc en cas de circonstances exceptionnelles (notamment pannes, dysfonctionnements imprévisibles, sinistres, indisponibilité imprévue d’un collaborateur).
Dans cette situation, sur décision du management, il pourra être fait appel exceptionnellement et de façon dérogatoire sur la plage 2, à un collaborateur volontaire ne contribuant pas habituellement au fonctionnement du STR, sur cette plage impactée par un événement imprévu décrit ci-dessus.
Dans l’hypothèse d’une telle situation, le collaborateur bénéficiera, au prorata de sa participation, de la compensation prévue à l’article 4 du présent avenant.
Article 4 : compensation DES contributions AU fonctionnement du STR
Les salariés participant au fonctionnement du STR bénéficieront pour une contribution hebdomadaire complète au STR d’une contrepartie valorisée, au choix du salarié, sous forme financière ou sous forme de temps.
Versement d’une prime STR de 9,5 % du salaire minimum de fonction de la classe 4.
Cette prime est calculée sur la base du montant annuel du salaire minimum de fonction de la classe 4 divisé par 12.
ou
Attribution d’une journée de congé exceptionnel.
Les journées de congé exceptionnel acquises feront l’objet d’une prise cumulée à raison d’une fois par semestre civil. Cette prise de congé exceptionnel pourra être accolée à des congés payés ou à des JRTT.
Les dates de prise de ces journées devront être planifiées conformément au premier alinéa de l’article 14-2 de l’accord d’harmonisation des temps de travail du 29 juin 2004 (notamment en concertation avec la hiérarchie).
En cas de contribution hebdomadaire incomplète, la contrepartie sera proratisée en fonction du temps de participation au STR (base 1/39ème pour une heure au STR).
Conformément à l’article 16-3 de l’accord d’harmonisation des temps de travail au sein du GIE SIG du 29 juin 2004, le travail du samedi donne lieu à une majoration de 25% des heures travaillées.
Les Analystes d’Exploitation contribuant au fonctionnement du STR percevront ainsi deux contreparties : la première telle que visée ci-dessus (prime STR ou journée de congé exceptionnel), la seconde correspondant à un prorata de la prime de travail posté de jour6.
Par ailleurs, les salariés utilisant leur voiture personnelle pour assurer la plage du samedi matin percevront une compensation financière en dédommagement des dépenses supplémentaires engagées pour ce déplacement.
Cette contrepartie aura la nature de salaire. Son montant net sera équivalent au montant de l’indemnité kilométrique qu’ils auraient perçue, en vertu de la procédure relative aux frais professionnels en vigueur au sein de l’entreprise. La distance domicile/lieu de travail prise en compte pour chaque salarié sera évaluée par la DRH sur la base des informations du site internet MAPPY.
ARTICLE 5 : ARRET DE LA CONTRIBUTION d’un SALARIE AU fonctionnement STR
En cas de cessation de la contribution au fonctionnement STR ou de changement d’affection professionnelle d’un salarié, il est fait application des mesures suivantes :
La prime STR est intégrée dans le salaire de fonction à hauteur de 50% du taux correspondant, à condition que le salarié contribue depuis au moins 1 an en continu au fonctionnement du STR.
Les 50% restants font l’objet du versement d’une prime unique capitalisée sur 12 mois et versée en une fois, à condition que le salarié contribue depuis au moins 1 an en continu au fonctionnement du STR.
Le calcul du montant à intégrer pour partie au salaire et pour partie à verser sous la forme d’une prime, est établie sur la base du montant moyen versé au cours des douze mois précédant la cessation de la contribution au STR.
Si la durée de cette contribution est supérieure à 12 mois, il sera fait application du calcul comparatif suivant par période entière de 12 mois glissants, dans la limite des 36 mois précédant la cessation de la contribution au STR.
Il sera procédé au calcul du montant moyen mensuel versé au cours de chaque période pleine de 12 mois glissants et c’est le montant le plus favorable qui sera retenu.
Ainsi, si le salarié a contribué au STR pendant 48 mois, il sera fait application d’un comparatif entre le montant moyen mensuel versé sur la première période de 12 mois précédant la date de cessation de la contribution au STR, puis sur la deuxième période de 12 mois glissants suivant cette première période et enfin sur la troisième période de 12 mois glissants suivant cette deuxième période (au total 36 mois précédant la date de cessation de la contribution au STR). C’est le montant mensuel moyen le plus favorable issu de ces calculs comparatifs qui sera retenu au bénéfice du salarié.
Ces dispositifs de compensation s’appliquent à l’exclusion des mutations disciplinaires, c’est-à-dire de mutations décidées par l’entreprise pour une ou des causes disciplinaires mises en œuvre conformément à la procédure légale et conventionnelle.
En cas de cessation de la contribution au fonctionnement STR d’un analyste d’exploitation, il est fait application des mesures suivantes :
La prime STR est intégrée dans le salaire de fonction à hauteur de 50% du taux correspondant, à condition que l’analyste d’exploitation contribue depuis au moins 1 an en continu au fonctionnement du STR.
Les 50% restants font l’objet du versement d’une prime unique capitalisée sur 12 mois et versée en une fois, à condition que le salarié contribue depuis au moins 1 an en continu au fonctionnement du STR.
Le calcul du montant à intégrer pour partie au salaire et pour partie à verser sous la forme d’une prime, est établie sur la base du montant moyen versé au cours des douze mois précédant la cessation de la contribution au STR.
Si la durée de cette contribution est supérieure à 12 mois, il sera fait application du calcul comparatif suivant par période entière de 12 mois glissants, dans la limite des 36 mois précédant la cessation de la contribution au STR.
Il sera procédé au calcul du montant moyen mensuel versé au cours de chaque période pleine de 12 mois glissants et c’est le montant le plus favorable qui sera retenu.
Ainsi, si le salarié a contribué au STR pendant 48 mois, il sera fait application d’un comparatif entre le montant moyen mensuel versé sur la première période de 12 mois précédant la date de cessation de la contribution au STR, puis sur la deuxième période de 12 mois glissants suivant cette première période et enfin sur la troisième période de 12 mois glissants suivant cette deuxième période (au total 36 mois précédant la date de cessation de la contribution au STR). C’est le montant mensuel moyen le plus favorable issu de ces calculs comparatifs qui sera retenu au bénéfice du salarié.
En ce qui concerne la contrepartie afférente à la réalisation de l’activité d’analyse d’exploitation au sein de la structure organisationnelle de rattachement, et dès lors que l’analyste d’exploitation ne contribue plus au fonctionnement du STR mais poursuit son activité en tant qu’AE, la prime de travail posté de jour lui est attribuée conformément à l’article 1-2 de l’avenant N°16 à l’accord d’harmonisation du temps de travail du GIE SIG du 29 juin 2004.
Ces dispositifs de compensation s’appliquent à l’exclusion des mutations disciplinaires, c’est-à-dire de mutations décidées par l’entreprise pour une ou des causes disciplinaires mises en œuvre conformément à la procédure légale et conventionnelle.
Article 6 : informations communiquéés aux représentants du personnel
Les informations fournies sont de deux natures en fonction de deux finalités différentes.
D’une part, la Direction informera le Comité Social et Economique si les domaines techniques ci-avant identifiés (article 2-1 du présent accord) venaient à être modifiés :
Dans le cas d’une suppression de l’un quelconque des domaines techniques précités, une information serait faite au Comité Social et Economique. Dans cette hypothèse, la prime STR sera intégrée au salaire de fonction conformément à l’article 5 du présent avenant quand bien même le salarié ne bénéficierait pas d’un an de contribution en continu au fonctionnement du STR.
Dans le cas de l’accroissement ou de l’attrition du périmètre de l’un des domaines techniques précités, une information serait faite au Comité Social et Economique et un suivi mensuel sera réalisé par la hiérarchie auprès de l'équipe concernée afin de s'assurer de l'adéquation du dispositif et des contraintes au regard de la mission du STR. Ce suivi mensuel sera effectué sur une période de 6 mois et donnera lieu sur cette période à une information trimestrielle du Comité Social et Economique
Dans le cas du remplacement d’un domaine technique précité par un autre domaine technique et/ou dans le cas d’un ajout d’un domaine technique nouveau à ceux préexistants, l’instance de négociation serait saisie en vue de la conclusion d’un avenant au présent texte.
Par ailleurs, la Direction communiquera trimestriellement au Comité Social et Economique, des données relatives au nombre de rotations au STR qui auront été réalisées sur le trimestre précédent (le nombre de rotations réalisées par domaines techniques et le nombre de salariés ayant effectué ces rotations).
Article 7 : Révision de l’article 1-5 de l’avenant n°16 portant révision de l’accord relatif à l’harmonisation des temps de travail du 29 juin 2004 - entités spécifiques : activite d’analyse d’exploitation :
L’article 1-5 « Changement d’affectation professionnelle d’un salarié travaillant à la réalisation de l’activité de gestion courante » de l’avenant n°16 portant révision de l’accord relatif à l’harmonisation des temps de travail du 29 juin 2004 - entités spécifiques : activité d’analyse d’exploitation est modifié comme suit :
« En cas de changement d’affectation professionnelle d’un salarié travaillant à la réalisation de l’activité de gestion courante, et dès lors que les conditions de travail visées à l’article 1-1 du présent avenant disparaissent et sont remplacées par le système d’horaires général du GIE Groupama Supports & Services, la prime de travail posté de jour est intégrée dans le salaire de fonction à hauteur de 50% du taux correspondant, à condition que le salarié travaille depuis au moins 1 an en continu dans le poste.
Les 50% restants font l’objet du versement d’une prime unique capitalisée sur 12 mois et versée en une fois, à condition que le salarié travaille depuis au moins 1 an en continu dans le poste. Dans l’hypothèse où le champ d’application du présent avenant serait modifié et qu’une des équipes ne serait plus postée, les modalités d’intégration de la prime décrite ci-dessus s’appliquerait quand bien même le salarié ne bénéficierait pas des un an de contribution en continu en horaire posté.
En cas de cessation de la contribution d’un analyste d’exploitation réalisant également des contributions au STR, il est fait application des mesures suivantes :
Le salarié concerné cesse totalement de travailler en tant qu’Analyste d’Exploitation (selon les modalités du présent avenant) et il est soumis au système d’horaires général du GIE Groupama Supports et Services, la prime de travail posté de jour est intégrée dans le salaire de fonction à hauteur de 50% du taux correspondant, à condition que l’analyste d’exploitation travaille depuis au moins 1 an en continu dans le poste.
Les 50% restants font l’objet du versement d’une prime unique capitalisée sur 12 mois et versée en une fois, à condition que le salarié travaille depuis au moins 1 an en continu dans le poste.
Le calcul du montant à intégrer pour partie au salaire et pour partie à verser sous la forme d’une prime, est établi sur la base du montant moyen mensuel versé au cours des douze mois précédant cette intégration. Le montant des primes prévu au présent avenant des douze derniers mois est reconstitué à 100% et ne tient pas compte des semaines effectuées au STR sur cette période.
la contrepartie afférente à la réalisation des contributions au STR, et dès lors que le salarié ne contribue plus au fonctionnement du présent avenant mais poursuit ses rotations au STR, la prime STR lui est attribuée conformément à l’article 4 de l’avenant N°19 à l’accord d’harmonisation du temps de travail du GIE SIG du 29 juin 2004.
Ce dispositif de compensation s’applique à l’exclusion des mutations disciplinaires, c’est-à-dire de mutations décidées par l’entreprise pour une ou des causes disciplinaires mises en œuvre conformément à la procédure légale et conventionnelle. »
Article 8 : Entrée en vigueur - Durée - Dépôt – REVISION – DENONCIATION.
Le présent avenant entre en vigueur au 2 mai 2022.
Conformément à l’article 3-2 de l’accord d’harmonisation des temps de travail au sein du GIE SIG du 29 juin 2004, le présent avenant est conclu pour une durée indéterminée.
Il se substitue à l’ensemble des avenants à l’accord d’harmonisation des temps de travail au sein du GIE SIG du 29 juin 2004 traitant des mêmes dispositions et il modifie l’article 1-5 de l’avenant n°16 portant révision de l’accord relatif à l’harmonisation des temps de travail du 29 juin 2004 entités spécifiques (activité d’analyse d’exploitation) en date du 23 septembre 2020, les autres dispositions dudit avenant n°16 demeurant inchangées.
A l’issue d’une période maximum de 18 mois à compter de la date d’entrée en vigueur du présent avenant, les parties signataires conviennent de dresser un bilan de l'application du présent avenant. Cette réunion de bilan sera organisée à la demande de la partie la plus diligente.
Le présent avenant pourra être révisé à tout moment par avenant entre la Direction et une ou plusieurs organisations syndicales représentatives répondant aux conditions et modalités de révision fixées à l’article L.2261-7-1 du Code du travail.
Le présent avenant pourra être dénoncé dans les conditions prévues par les articles L.2222-6 et L2261-9 et suivants du code du travail.
En application de l’article L2231-5 du Code du travail, le présent accord sera notifié, après signature de la Direction et d’une ou plusieurs organisations syndicales représentatives, par la Direction aux organisations syndicales représentatives.
Puis, conformément aux articles L2231-6 et D2231-2 du Code du travail, il sera déposé par la Direction sur la plateforme « TéléAccords » mise en ligne par le Ministère du travail et en un exemplaire auprès du secrétariat-greffe du Conseil de Prud’hommes de Paris.
Fait à Paris, le 2 mai 2022
En 8 exemplaires originaux
Pour le GIE Groupama Pour les organisations
Supports & Services: syndicales ci-dessous dénommées :
- Le Directeur Général
- la CFDT
- la CFE-CGC
- la CGT
L’UNSA 2A
ANNEXE
DESCRIPTION DES DIFFERENTS DOMAINES TECHNIQUES VISES AU PRESENT AVENANT
Domaine Spécialiste application OPEN :
Ce domaine concerne les spécialistes applicatifs de l’équipe Exploitation et support aux applications qui sont chargés de l’exploitation et de l’administration récurrente des applications.
Domaine Spécialiste gestion de document :
Ce domaine concerne les spécialistes applicatifs de l’équipe Exploitations des applications qui sont chargés de l’exploitation et de l’administration récurrente de ces applications.
Domaine Réseau :
Ce domaine concerne les collaborateurs chargés de l'exploitation, de l'administration et du support autour des composants réseaux (Wan et LAN) et des composants liés à l'ensemble du réseau et des plates-formes téléphoniques.
Domaine Middleware :
Ce domaine concerne les collaborateurs qui administrent et supportent les couches et composants logiciels qui créent un réseau d'échange d'informations internes aux applications et entre les applications. Les composants logiciels du middleware assurent la communication entre les applications quels que soient les ordinateurs impliqués.
Domaine Système-Médias :
Ce domaine concerne les collaborateurs chargés de l'administration et du support autour des composants système (Unix, Windows) et les composants d'infrastructure : machines et médias.
Pilotes STR :
Ces collaborateurs sont les membres de la ligne d’encadrement de l’exploitation au sein de la DTPI et Exploitations des applications au sein de la DEDP.
Dans le cadre du présent avenant, la semaine est entendue comme une semaine calendaire.↩
Dans le cadre du présent avenant, la semaine est entendue comme une semaine calendaire↩
Dans le cadre du présent avenant, la semaine est entendue comme une semaine calendaire.↩
Dans le cadre du présent avenant, la semaine est entendue comme une semaine calendaire.↩
Dans le cadre du présent avenant, la semaine est entendue comme une semaine calendaire.↩
Cf article 1-2 de l’avenant 16 à l’accord d’harmonisation des temps de travail du 29 juin 2004
20% du salaire minimum de fonction de la classe 4, versée sur 12 mois sur bulletin de paye et attribuée aux salariés qui travaillent selon les modalités décrites dans cet avenant n°16↩
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