Accord d'entreprise "Accord collectif de mise en place et d'organisation des commissions du CSE" chez LBM BIOESTEREL (Siège)
Cet accord signé entre la direction de LBM BIOESTEREL et le syndicat CFDT et CGT-FO et SOLIDAIRES le 2019-10-08 est le résultat de la négociation sur sur le forfait jours ou le forfait heures, le travail de nuit, les heures supplémentaires, le jour de solidarité, le compte épargne temps, les autres dispositifs d'aménagement du temps de travail, l'aménagement du temps travail, la modulation du temps de travail ou l'annualisation du temps de travail, les congés payés, RTT et autres jours chômés, le temps-partiel, le temps de travail, le travail du dimanche.
Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CFDT et CGT-FO et SOLIDAIRES
Numero : T00619002663
Date de signature : 2019-10-08
Nature : Accord
Raison sociale : LBM BIOESTEREL
Etablissement : 41296108800025 Siège
Travail dominical : les points clés de la négociation
La négociation s'est portée sur les thèmes suivants
Conditions du dispositif travail dominical pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2019-10-08
ACCORD COLLECTIF DE MISE EN PLACE ET D’ORGANISATION DES COMMISSIONS
DU CSE
Entre :
La société BIOESTEREL, Société d’Exercice Libéral par Actions Simplifiée (SELAS) au capital de
14 290 900 € immatriculée au RCS de Cannes, sous le numéro 412961088, dont le siège social est situé 405, Avenue de Cannes, 06210 MANDELIEU LA NAPOULE, représentée par XXXXXXXXXX agissant en qualité de Directeur Général Délégué.
Ci-après dénommée « la Direction »
D’une part,
Et :
XXXXXXXXXX : Délégué Syndical Cfdt
XXXXXXXXXX : Délégué Syndical FO
XXXXXXXXXX : Délégué Syndical Sud Santé Sociaux
Ci-après dénommées « organisations syndicales ».
D’autre part,
Préambule et rappels :
L’ordonnance no 2017-1386 du 22 septembre 2017 relative à la nouvelle organisation du dialogue social et économique dans l’entreprise et favorisant l’exercice et la valorisation des responsabilités syndicales, modifie en profondeur les règles de dialogue social et l’architecture des instances représentatives du personnel, laissant aux partenaires sociaux dans l’entreprise un large champ ouvert à la négociation. Le comité social et économique devient impératif au plus tard au 1er janvier 2020, en remplacement des anciennes instances élues en place. Parallèlement l’article 9, VII de l’ordonnance a déclaré caducs les anciens accords relatifs aux institutions représentatives du personnel, et ce, à compter de la date du premier tour des élections des membres de la délégation du personnel du comité social et économique.
Le présent accord a plus précisément pour objet de déterminer la composition et le fonctionnement des commissions du CSE :
COMMISSION SANTE, SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL (CSSCT)
Nombre et périmètre de mise en place :
Compte tenu de la configuration de l’entreprise et de la nature de ses activités, il sera mis en place une commission santé, sécurité et conditions de travail pour l’entreprise.
Composition de la CSSCT :
Compte tenu de l’effectif de l’entreprise, la mise en place au sein du CSE d’une commission santé sécurité et conditions de travail est obligatoire en application de l’article L. 2315-36 du code du travail.
La CSSCT et présidée par l’employeur ou son représentant et peut se faire assister par des collaborateurs appartenant à l’entreprise et choisis en dehors du CSE (ensemble, ils ne peuvent pas être en nombre supérieur à celui des représentants du personnel titulaires)
Le Président du CSE peut déléguer de manière permanente la présidence de la CSSCT à tout autre représentant de l’employeur compétent.
La CSSCT est composée de 6 membres désignés parmi les membres du CSE pour une durée qui prend fin avec celle du mandat des membres élus du CSE. Parmi les membres représentants du personnel, doit figurer au moins un représentant du collège cadre.
Attributions de la CSSCT
Conformément à l'article L. 2315-38 du code du travail, la CSSCT se voit confier, par délégation du CSE toutes les attributions du comité relatives à la santé, à la sécurité et aux conditions de travail, à l’exception du droit de recours à un expert, des attributions consultatives du comité social et économique en matière de santé, sécurité et conditions de travail et du pouvoir d’ester en justice.
De manière générale la CSSCT remplit des missions générales d'étude de certains problèmes pour le compte du comité, de préparation de certaines de ses délibérations et de réponse à toute sollicitation de l'instance afin d'accomplir des missions particulières. Elle est dépourvue de la personnalité civile et ne peut souscrire aucun engagement de quelque nature que ce soit, ni pour leur propre compte ni pour celui du comité. De plus, et en aucun cas, elle ne peut se substituer au comité pour l'exercice de ses prérogatives légales de consultation, avis et décision, ni de recours à un expert.
La CSSCT exerce par ailleurs les missions d'inspection et d'enquête normalement dévolues au CSE. Cependant celui-ci conserve la possibilité d'exercer pour une durée déterminée lui-même ces prérogatives après l'adoption d'une délibération en ce sens.
La CSSCT instruit les questions soumises à la consultation du CSE dans le domaine de la santé, de la sécurité et des conditions de travail. À cette fin, elle prépare un rapport et une recommandation qu'elle soumet au CSE. Celui-ci se prononce sans se livrer à une nouvelle instruction.
Fonctionnement de la CSSCT :
Organisation du secrétariat de la CSSCT
Le secrétariat de la CSSCT est assuré par un secrétaire désigné au cours de la première réunion qui suit la désignation des membres de la commission. Tout représentant du personnel membre de la CSSCT peut se porter candidat.
L'élection du secrétaire se déroule à main levée sur 2 tours. Au premier tour, l'élection se fait à la majorité des membres présents. Si aucun candidat n'est élu, un second tour est organisé à la majorité des voix exprimées.
En cas d'égalité de voix entre deux candidats, le candidat le plus âgé sera considéré comme élu.
En cas de départ définitif du secrétaire de l'entreprise ou de démission de la CSSCT ou de son poste de secrétaire en cours de mandat, la commission désigne un nouveau secrétaire dès la réunion suivante, pour la durée du CSE restant à courir.
Si, à l'occasion d'une réunion plénière, le secrétaire est absent, la commission désigne un secrétaire de séance par décision prise dans les conditions fixées par le présent règlement.
Le secrétaire est notamment chargé d'élaborer, conjointement avec le président, l'ordre du jour des réunions de la CSSCT. Il rédige et diffuse les procès-verbaux dans les conditions fixées par le présent accord.
Il assure la coordination nécessaire entre le président et la commission et entre la commission et le CSE.
Il organise les travaux de la commission et veille à l'exécution de ses décisions du CSE en matière d’hygiène, sécurité et conditions de travail.
Moyens
Heures de délégation
Les membres de la CSSCT disposent de 15 heures de délégation trimestrielles incluant les temps de déplacement intersites, en sus de leur crédit en tant que membre du CSE.
Afin d’assurer la bonne marche de l’entreprise et d’assurer un suivi des heures de délégation utilisées au cours du mois, le membre de la CSSCT informe son supérieur hiérarchique avant de s’absenter de son poste de travail pour prendre ses heures de délégation. Sauf circonstances exceptionnelles, le représentant devra avertir au moins 3 jours avant son absence, un bon de délégation sera établi et fourni au service RH pour comptabilisation des heures de délégation.
Sont décomptées des heures de délégation, les temps de réunions préparatoires, le temps d’inspections (au moins 4 par an) et le temps d’enquête hors accident grave.
Le temps passé aux réunions de la CSSCT est rémunéré comme temps de travail effectif et n’est pas déduit du crédit d’heures, il en est de même pour le temps passé :
Aux enquêtes menées après un accident grave ou des incidents répétés ayant révélé un risque grave ou une maladie professionnelle ou à caractère professionnel grave.
A la recherche de mesures préventives dans toute situation d’urgence et de gravité, notamment lors de la mise en œuvre de la procédure d’alerte en cas de situation dangereuse.
La fonction nécessitant une activité régulière, les heures ne sont pas cumulables ni reportables d’un trimestre sur l’autre.
Les membres de la commission peuvent répartir entre eux le temps dont ils disposent pour exercer leur mandat. Cette règle ne peut toutefois pas conduire un membre à disposer dans le mois de plus d’une fois et demie son crédit d’heures mensuel. Il devra en outre informer son supérieur hiérarchique moyennant un délai de prévenance de 8 jours. Cette information se fait par remise du bon de transfert d’heures de délégation. Une copie du bon de transfert des heures de délégation sera remis au service RH pour comptabilisation.
Moyens matériels
Les membres de la commission SSCT peuvent utiliser librement le bureau du CSE pour leur activité.
Afin de pouvoir diffuser des informations en rapport avec sa mission, la CSSCT dispose d’un espace qui lui est propre sur l’intranet de l’entreprise. Elle peut notamment y stocker ses procès-verbaux et les documents qu’elle souhaite porter à la connaissance des salariés.
Pour les besoins de leur activité, les membres de la CSSCT se verront attribuer un ordinateur portable.
La CSSCT ne dispose pas d’un budget propre.
Déplacements
Les membres de la CSSCT disposent d'une liberté de déplacement à l'intérieur de l'entreprise sans aucune restriction, sous réserve de respecter les consignes de sécurité. Ils peuvent également se déplacer à l'extérieur de l'entreprise.
Pour leurs déplacements, ils sont autorisés à utiliser les véhicules de service disponibles. Si aucun véhicule n'est disponible, les frais de déplacement leur sont intégralement remboursés sur présentation des justificatifs et en respectant la procédure habituelle de remboursement des frais professionnels.
En cas d'utilisation d'un véhicule personnel pour les besoins d'un déplacement, le représentant du personnel s'engage à fournir une attestation d'assurance établissant qu'il peut bien utiliser son véhicule personnel.
Formation
Conformément à l’article L. 2315-40 du code du travail, les membres du CSE, bénéficient de la formation nécessaire à l’exercice de leurs missions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail.
Réunions
Nombre, fréquence et lieux des réunions
Le nombre de réunions de la CSSCT est fixé à 4 par an minimum,
Le planning des réunions est arrêté chaque année par accord entre le président et le secrétaire, il est communiqué à tous les membres de la commission et au CSE. Le planning prévisionnel peut faire l’objet de modifications, dans ce cas, le président de la commission informe dès que possible tous les membre des modifications envisagées.
15 jours avant chaque réunion, le président de la commission confirme la tenue de la réunion. La confirmation peut indifféremment être adressées par courrier électronique, par courrier interne ou par courrier postal (LRAR ou LREL).
Les réunions se tiennent en principe dans les locaux de l’entreprise, mais il est possible de planifier des séances en visio conférence sans limitation.
Participants
Conformément à l’article L. 2315-39, assistent aux réunions de la CSSCT :
L’inspecteur du travail du siège de la société
Le médecin du travail référent défini en CSE
Le représentant de la CRAM
Le référent hygiène et sécurité de l’entreprise
Les agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale.
Convocations
Les réunions sont convoquées par le Président de la commission selon un ordre du jour établi dans les mêmes conditions que les réunions du CSE.
Quand la réunion doit comporter l’examen de documents écrits, ceux-ci sont joints à l’envoi de l’ordre du jour.
Réunions
Les réunions (préparatoires et plénières) se déroulent selon les mêmes modalités et dans les mêmes conditions que les réunions du CSE. Avec l'accord de la commission, le président peut se faire assister de manière occasionnelle ou permanente par 2 personnes appartenant obligatoirement à l'entreprise ou au groupe.
Par ailleurs, la commission peut faire appel, à titre consultatif et occasionnel, au concours de toute personne de l'entreprise ou du groupe qui lui paraîtrait qualifiée et qui pourrait lui apporter des indications utiles sur les questions figurant à l'ordre du jour.
Toutes les personnes que la commission a demandé à consulter dans le cadre de ses travaux doivent être convoquées par le président.
Adoption des décisions et des résolutions de la CSSCT en séance
Quels que soient leurs objets, les décisions et les résolutions de la CSSCT sont adoptées par un vote à la majorité des membres présents. Les votes ont lieu à main levée, sauf si 2 des représentants du personnel à la commission demandent l'organisation d'un vote à bulletins secrets.
En tant que membre de la CSSCT, le président a droit de vote en ce qui concerne les modalités de fonctionnement et l'organisation des travaux de la commission. En revanche, il ne peut pas prendre part au vote lorsqu'il consulte la CSSCT en tant que délégation du personnel.
Rédaction, approbation et diffusion des procès-verbaux de réunion
Toute réunion de la CSSCT fait l'objet d'un procès-verbal rédigé par le secrétaire à partir de ses notes et de celles prises par les autres membres de la commission.
Consciente que l'information du personnel ne peut pas attendre l'adoption du procès-verbal au cours de la réunion du trimestre suivant, la CSSCT met en place la procédure suivante :
-le secrétaire de la commission se charge de rédiger un projet de procès-verbal et de le transmettre à tous les participants à la réunion, y compris au président, dans les 15 jours qui suivent la réunion. Chaque participant dispose d'un délai de 10 jours pour faire part de ses observations au secrétaire. Passé ce délai, le projet de PV est réputé avoir été accepté.
-après avoir éventuellement pris en compte les demandes de modification, d'ajout ou de retrait, le secrétaire de la commission finalise le procès-verbal. Il le signe et se charge de le faire signer par le président. Le PV définitif est immédiatement adressé à chaque participant à la réunion ainsi qu’au président du CSE.
Les procès-verbaux de réunion sont conservés par le président et sont tenus à la disposition de l'inspecteur du travail, des médecins du travail et des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale.
Le Président de la CSSCT et le secrétaire feront le lien avec le président et le secrétaire du CSE afin de porter à l’ordre du jour desdites réunions les sujets ayant été délégués par le CSE à la commission selon les modalités prévues au C.
Le président de la CSSCT est invité aux réunions du CSE portant sur les questions de santé, sécurité et conditions de travail.
Le bilan des activités de la CSSCT sera présenté au CSE lors de la consultation annuelle sur la politique sociale intégrant la présentation du rapport annuel sur la situation générale de la santé, de la sécurité et des conditions de travail et du programme annuel de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail.
Tous les membres de la commission ainsi que les experts et techniciens qui y participent, le cas échéant, sont soumis au secret professionnel et à l'obligation de discrétion.
AUTRES COMMISSIONS
Il est créé une commission spécifique dédiée à la formation, l’aide au logement et à l’égalité professionnelle
La commission comprend 3 membres désignés par le CSE lors de sa première réunion, elle est présidée par un de ses membres.
Elle est chargée :
En matière de formation professionnelle : de préparer les délibérations du CSE dans le cadre des consultations sur les orientations stratégiques et sur la politique sociale de l'entreprise.
Elle est en outre chargée d'étudier les moyens propres à favoriser l'expression des salariés en matière de formation et participer à l'information de ceux-ci dans le même domaine. Elle étudie également les problèmes spécifiques concernant l'emploi et le travail.
La commission est chargée d'étudier le plan annuel de formation et d'en suivre l'exécution au cours de l'année.
En matière d’aide au logement : Elle facilite le logement et l'accession des salariés à la propriété et à la location des locaux d'habitation. A cet effet, elle :
recherche les possibilités d'offre de logements correspondant aux besoins du personnel, en liaison avec les organismes habilités à collecter la participation des employeurs à l'effort de construction ;
informe les salariés sur leurs conditions d'accès à la propriété ou à la location d'un logement et les assiste dans les démarches nécessaires pour l'obtention des aides financières auxquelles ils peuvent prétendre.
En matière d'égalité professionnelle : de préparer les délibérations du CSE notamment dans le cadre de la consultation sur la politique sociale de l'entreprise.
L'employeur peut adjoindre à la commission avec voix consultative des experts et des techniciens appartenant à l'entreprise et choisis en dehors du CSE conformément à l'article L. 2315-45 du code du travail.
La commission se réunit selon les besoins et sur convocation de son président.
Toute réunion de la commission fait l'objet d'un procès-verbal rédigé par le secrétaire – désigné à chaque début de séance - à partir de ses notes et de celles prises par les autres membres de la commission.
Le secrétaire de session se charge de rédiger un projet de procès-verbal et de le transmettre à tous les participants à la réunion, y compris au président dans les 15 jours qui suivent la réunion. Chaque participant dispose d'un délai de 10 jours pour faire part de ses observations au secrétaire. Passé ce délai, le projet de PV est réputé avoir été accepté.
Après avoir éventuellement pris en compte les demandes de modification, d'ajout ou de retrait, le secrétaire de la commission finalise le procès-verbal. Il le signe et se charge de le faire signer par le président. Le PV définitif est immédiatement adressé à chaque participant à la réunion ainsi qu’au président et au secrétaire du CSE.
Les membres des autres commissions : ne bénéficient pas d’heures de délégation supplémentaires.
Les temps passés aux réunions des commissions sont payés comme du travail effectif dès lors que la durée globale de ces réunions n’excède pas 10 heures annuelles.
SECRET PROFESSIONNEL
Les dispositions de l’article L. 2315-3 relatives au secret professionnel et à l’obligation de discrétion sont applicables aux membres Du CSE et de ses commissions.
DISPOSITIONS FINALES
Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée.
Cet accord peut faire l’objet, à tout moment, d’une révision à la demande de chacune des parties signataires dans le respect des conditions de validité applicables à la conclusion des accords d’entreprise, l’ensemble des organisations syndicales représentatives participant alors à la négociation de l’avenant.
Il peut être dénoncé par l’une ou l’autre des parties signataires, par lettre recommandée avec accusé de réception sous réserve du respect du préavis de 3 mois courant à compter de la notification de la dénonciation à la DIRECCTE ainsi qu’au Conseil des Prud’hommes.
Le présent accord entrera en vigueur à compter de la mise en place du CSE.
Afin d'assurer le suivi du présent accord, il est prévu qu’un bilan sur les éventuelles difficultés de mise en œuvre ou d’interprétation sera réalisé au terme de chaque mandat avec les organisations syndicales signataires et représentatives. A cette fin, la partie qui estime nécessaire de faire évoluer certaines dispositions de l’accord pourra demander l’organisation d’une réunion ad hoc.
Dénonciation
Le présent accord et ses avenants éventuels peuvent être dénoncés par l'une ou l'autre des parties signataires conformément aux dispositions de l'article L. 2261-9 du code du travail.
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Publicité
A compter de la notification du présent accord à l’ensemble des organisations syndicales représentatives au sein de l’entreprise et conformément aux dispositions de l’article L.2232-12 du code du travail, le présent accord sera déposé de manière électronique sur la plateforme dédiée : www.teleaccords.travail-emploi.gouv.fr
Un exemplaire anonymisé sera rendu public et déposé dans une base de données nationale.
Le présent accord est établi en un nombre suffisant d’exemplaires pour remise à chacune des parties signataires. Le dépôt à l’Administration du travail s’accompagnera de la notification de l’accord aux organisations syndicales, de la copie des résultats des dernières élections professionnelles, d’une version publiable conforme à l’article L.2231-5-1 du code du travail, la liste des établissements et leurs adresses respectives.
Conformément à l'article D. 2231-2, un exemplaire de l'accord est également remis au greffe du conseils de prud'hommes du ressort du siège social de l’entreprise.
Les éventuels avenants de révision du présent accord feront l'objet des mêmes mesures de publicité.
A Mouans-Sartoux, le 8 octobre 2019
XXXXXXXXXX XXXXXXXXXX XXXXXXXXXX XXXXXXXXXX
FO CFDT SUD SANTE SOCIAUX BIOESTEREL
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